Les mots parfois sont trop fragiles pour atténuer la douleur d'un humain.
Les maux causés par l'espèce humaine sur mes négros avaient tout d'inhumain.
Des geôles à perte de vue ornent nos villes et prennent des mômes aux femmes qui prennent des mômes aux villes.
Qui sur le tas apprend que son enfant est pédo.
Trop de crimes sont chaque soirs annoncés par nos charmantes speakerines.
Trop de putes en string traînent dans la boue le désarroi des proches des victimes.
La mort d'un être à leurs yeux n'est qu'un cliché dans un article,
Depuis le jour de la conception, trop d'hommes se noient dans l'antarctique.
Ces désaccords de trop prendre à cœur ce qui chaque jour accentue ma colère.
Des flots de larmes affluent des collines pendant que la c**e s'enfuit des aides scolaires.
J'ai vu la déchéance humaine et je sais toujours pas parler aux chevaux.
J'ai vu l'effervescence de la haine dans la froideur qui réchauffe mes caniveaux.
Les mots ne guérissent point les plaies internes qui me dévient de l'amour.
Les maux martèlent mon encéphale augmentant ma rage me submergeant dans l'amour.
Les mots parfois m'inquiètent, les mots parfois m'écœurent, les maux parfois m'écartent.
Mais à la barre c'est toujours les mêmes qui t'acquittent.
Nos c***ns n'ont droit qu'à des miettes, et nous on écope pour ce test de peuple un long périple dans l'amertume.
Lorsque l'état sabote le peuple, les guerres fleurissent en Afrique.
L'ONU accumule les pourparlers pendant que se noient dans des marres de sang des milliers de gens sur un fond de Bob Marley.
A quand le massacre des otages que l'on détenait au fin fond des Philippines.
Aimerais-tu réentendre les cris d'une fillette qui fut l'a**aut d'un Vietminh.
Lorsque le diable toque à ta porte, aucune incantation ne peut l'enchanter.
Seuls les corps éventrés d'un père du juste le contrer.
Les contraintes qui entraîne une vie à faire d'un père l'amant de sa fille.
Les maux parfois sont atrophiés par ce mal de vivre que ressent sa fille.
Les maux sont ces rafales de baffles posées sur la gueule de Martin par un mari aimant.
L'amour est un des alibis les plus recensés chez les locataires de la M.A.F.
Je m'entête chaque jour à combattre l'idée de finir martyr.
Mais que peut-on faire face à la justice de l'accroissement des naissances carcérales.
Allez, on se retrouvera tous un jour devant une Duff chez Moe.
Les yeux fermés dans la pénombre, sache que fermez le poing ne résout point les maux.
Lorsque le désespoir nous noie dans l'euphorie qu'est l'alcool.
Et que nos mômes sous tutelle réprimandent l'absentéisme d'un père puéril.
J'affirme en ce cas être victime d'un complot.
Et que la mondialisation n'est qu'une excuse face à l'atrocité qu'est la vie sur ce monde.
La nicotine s'empare de victimes de plus en plus jeune.
Pendant, dans un labo on confectionne des gènes qu'on expérimente plus sur l'animal.
Regarde des maux du Sida, on est passé à l'Ebola.
De la vache folle, je crains la fièvre de Dolly.
Croit-il réellement que distribuer des seringues sauvera des vies.
Devrais-je rester de marbre face à l'implication du corps médical dans ces overdoses.
Les mots sont ceux qu'on censure pour que la lumière ne soit plus.
Ceux qui condamnent nos mères à augmenter le chiffre d'affaire de Franc Prix.
Je pense que c'est un sale temps pour un coup de foudre.
A défaut d'a**umer ta paternité, tu condamnes ta compagne à l'IVG.
Pourtant je t'avouerai que j'ai beaucoup de peine pour tous ces fœtus,
Et un immense respect pour le courage de ces mères enfants qui se précipitèrent sur la b***.
Comme quoi l'erreur est humaine négro,
Et qu'il y a des problèmes plus pesant que ces arrestations dans nos ruelles.
Il est vrai que je ne peux rester indifférent face à ces bavures,
Et que le sang ne colmate point les blessures qu'est la famille d'un avocat.
Les mots sont ces injures qui offusquent des parents dans un palais de justice.
Mais qu'y a-t-il de juste dans le jugement d'un juge d'extrême droite.
Sais-tu combien des miens font les cent pas dans les milieux de Fleury.
Combien d'entre eux auraient tant aimé se taper à chaque dîner un roast-beef.
Nos cages d'escaliers se transforment en habitat.
Les jeunes délaissent leur coin familial pour connaître l'aventure.
Comme beaucoup d'entre eux, je tente de fuir tous ces coups fourrés.
Et féru de connaissance, je combats mes ennemis comme je le peux.
Mes maux se déclenchèrent dans le fracas des chaînes.
Et ne trouveront point le repos avant que le soleil n'ait atteint son zénith.
Dans ma zone, le rouge ronge la rage négro.
Ma solitude n'a d'égal que ma naïveté.
On me reproche de ne pas a**ez m'intéresser aux troupes qui perturbent mon horizon.
Mais le verre bu chez moi et eu sur moi l'effet d'une bombe dans les rues de Belfast.
Pourvu que le ciel ne me tombe pas la tête.
Et qu'on ne me compte pas parmi les auteurs d'œuvres apologiques instables.
Mes origines me condamnent donc à porter le lourd fardeau qu'est la souffrance.
Pendant que l'oppresseur fils de dictateur se dore la pilule dans le sud de la France.
Ma rage n'a d'égal que l'amplitude terrestre qu'ont les maux.
Si j'avais pu négro, de mes mains j'aurais tué Moe.
En plein cœur de ma majorité, je le reproche c'est ça le rôle.
On ne comprend point l'interdiction du port du foulard dans leur école.
J'ai une fois de plus une pensée légitime pour ceux qui meurent dans les cales,
Des déportés d'Afrique aux survivants du Népal.
Mes maux sont le gang bang d'une sœur qui monte avec 6 mecs dans une chambre.
Te rappelles-tu négro, ces chaudes soirées de décembre où la pudeur
n'a plus de dette chez ces ecclésiastes friands de mineur
où le problème majeur ne fut plus toutes ses jambes de mômes arracher par les mines.
Mes maux sont indicibles, les leurs restent illisibles.
Toutes ses âmes criblées par le dégoût ont dû passée des larmes au risible.
Mes maux sont ces cors au pied qui m'obligent à acheter tous les 6 mois une nouvelle paire de pompe.
Pendant que s'estompent dans l'abîme les sourires des pères du baby-boom.
J'ai l'intime conviction que les aveugles sont heureux de l'être moins que nous.
Et que mes rêves ne se réalisent que pour
Les maux causés par l'espèce humaine sur mes négros avaient tout d'inhumain.
Des geôles à perte de vue ornent nos villes et prennent des mômes aux femmes qui prennent des mômes aux villes.
Qui sur le tas apprend que son enfant est pédo.
Trop de crimes sont chaque soirs annoncés par nos charmantes speakerines.
Trop de putes en string traînent dans la boue le désarroi des proches des victimes.
La mort d'un être à leurs yeux n'est qu'un cliché dans un article,
Depuis le jour de la conception, trop d'hommes se noient dans l'antarctique.
Ces désaccords de trop prendre à cœur ce qui chaque jour accentue ma colère.
Des flots de larmes affluent des collines pendant que la c**e s'enfuit des aides scolaires.
J'ai vu la déchéance humaine et je sais toujours pas parler aux chevaux.
J'ai vu l'effervescence de la haine dans la froideur qui réchauffe mes caniveaux.
Les mots ne guérissent point les plaies internes qui me dévient de l'amour.
Les maux martèlent mon encéphale augmentant ma rage me submergeant dans l'amour.
Les mots parfois m'inquiètent, les mots parfois m'écœurent, les maux parfois m'écartent.
Mais à la barre c'est toujours les mêmes qui t'acquittent.
Nos c***ns n'ont droit qu'à des miettes, et nous on écope pour ce test de peuple un long périple dans l'amertume.
Lorsque l'état sabote le peuple, les guerres fleurissent en Afrique.
L'ONU accumule les pourparlers pendant que se noient dans des marres de sang des milliers de gens sur un fond de Bob Marley.
A quand le massacre des otages que l'on détenait au fin fond des Philippines.
Aimerais-tu réentendre les cris d'une fillette qui fut l'a**aut d'un Vietminh.
Lorsque le diable toque à ta porte, aucune incantation ne peut l'enchanter.
Seuls les corps éventrés d'un père du juste le contrer.
Les contraintes qui entraîne une vie à faire d'un père l'amant de sa fille.
Les maux parfois sont atrophiés par ce mal de vivre que ressent sa fille.
Les maux sont ces rafales de baffles posées sur la gueule de Martin par un mari aimant.
L'amour est un des alibis les plus recensés chez les locataires de la M.A.F.
Je m'entête chaque jour à combattre l'idée de finir martyr.
Mais que peut-on faire face à la justice de l'accroissement des naissances carcérales.
Allez, on se retrouvera tous un jour devant une Duff chez Moe.
Les yeux fermés dans la pénombre, sache que fermez le poing ne résout point les maux.
Lorsque le désespoir nous noie dans l'euphorie qu'est l'alcool.
Et que nos mômes sous tutelle réprimandent l'absentéisme d'un père puéril.
J'affirme en ce cas être victime d'un complot.
Et que la mondialisation n'est qu'une excuse face à l'atrocité qu'est la vie sur ce monde.
La nicotine s'empare de victimes de plus en plus jeune.
Pendant, dans un labo on confectionne des gènes qu'on expérimente plus sur l'animal.
Regarde des maux du Sida, on est passé à l'Ebola.
De la vache folle, je crains la fièvre de Dolly.
Croit-il réellement que distribuer des seringues sauvera des vies.
Devrais-je rester de marbre face à l'implication du corps médical dans ces overdoses.
Les mots sont ceux qu'on censure pour que la lumière ne soit plus.
Ceux qui condamnent nos mères à augmenter le chiffre d'affaire de Franc Prix.
Je pense que c'est un sale temps pour un coup de foudre.
A défaut d'a**umer ta paternité, tu condamnes ta compagne à l'IVG.
Pourtant je t'avouerai que j'ai beaucoup de peine pour tous ces fœtus,
Et un immense respect pour le courage de ces mères enfants qui se précipitèrent sur la b***.
Comme quoi l'erreur est humaine négro,
Et qu'il y a des problèmes plus pesant que ces arrestations dans nos ruelles.
Il est vrai que je ne peux rester indifférent face à ces bavures,
Et que le sang ne colmate point les blessures qu'est la famille d'un avocat.
Les mots sont ces injures qui offusquent des parents dans un palais de justice.
Mais qu'y a-t-il de juste dans le jugement d'un juge d'extrême droite.
Sais-tu combien des miens font les cent pas dans les milieux de Fleury.
Combien d'entre eux auraient tant aimé se taper à chaque dîner un roast-beef.
Nos cages d'escaliers se transforment en habitat.
Les jeunes délaissent leur coin familial pour connaître l'aventure.
Comme beaucoup d'entre eux, je tente de fuir tous ces coups fourrés.
Et féru de connaissance, je combats mes ennemis comme je le peux.
Mes maux se déclenchèrent dans le fracas des chaînes.
Et ne trouveront point le repos avant que le soleil n'ait atteint son zénith.
Dans ma zone, le rouge ronge la rage négro.
Ma solitude n'a d'égal que ma naïveté.
On me reproche de ne pas a**ez m'intéresser aux troupes qui perturbent mon horizon.
Mais le verre bu chez moi et eu sur moi l'effet d'une bombe dans les rues de Belfast.
Pourvu que le ciel ne me tombe pas la tête.
Et qu'on ne me compte pas parmi les auteurs d'œuvres apologiques instables.
Mes origines me condamnent donc à porter le lourd fardeau qu'est la souffrance.
Pendant que l'oppresseur fils de dictateur se dore la pilule dans le sud de la France.
Ma rage n'a d'égal que l'amplitude terrestre qu'ont les maux.
Si j'avais pu négro, de mes mains j'aurais tué Moe.
En plein cœur de ma majorité, je le reproche c'est ça le rôle.
On ne comprend point l'interdiction du port du foulard dans leur école.
J'ai une fois de plus une pensée légitime pour ceux qui meurent dans les cales,
Des déportés d'Afrique aux survivants du Népal.
Mes maux sont le gang bang d'une sœur qui monte avec 6 mecs dans une chambre.
Te rappelles-tu négro, ces chaudes soirées de décembre où la pudeur
n'a plus de dette chez ces ecclésiastes friands de mineur
où le problème majeur ne fut plus toutes ses jambes de mômes arracher par les mines.
Mes maux sont indicibles, les leurs restent illisibles.
Toutes ses âmes criblées par le dégoût ont dû passée des larmes au risible.
Mes maux sont ces cors au pied qui m'obligent à acheter tous les 6 mois une nouvelle paire de pompe.
Pendant que s'estompent dans l'abîme les sourires des pères du baby-boom.
J'ai l'intime conviction que les aveugles sont heureux de l'être moins que nous.
Et que mes rêves ne se réalisent que pour