Ayie Mama
Je voulais que tu saches que j'n'ai jamais voulus hausser la
voix contre toi
Jamais voulus te faire de la peine mais des fois j'suis
maladroit
Jcrois que j't'aime trop c'est ça,
Ca me rend fou qu'on s'entende pas
j'ai du hériter de ta tête de mule c'est ça,
t'avais raison, l'autre était une pute,
elle a niqué ma vie et celle de mon quai mal
elle était trop en rute,
maintenant j'ai l'air con,
toutes ces fois où on s'est déchirés pour elle, j'ai honte,
j'monte tous doucement chaque palier de mon rétablissement,
si tu savais c'que j'ai faillit faire tu m' mettrais à la
Soli pour faire couler son sang,
mais dieu merci j'ai des potes, qui valent la prunelle de tes
yeux,
ils me remontent chaque fois que je me descends,
j'avoue qu' ça a pas arrangé,
l'opinion que j'avais du mariage comorien ça a même empiré,
Ne me demande plus de changer,
Mais plaies se sont encore plus allé depuis que mon père
s'est remarié,
Tu sais, pour moi c'est dur de voir tous ces millions
gaspillés
Quand je sais q'au bled Coco n'a rien à manger,
En plus t'es plongée dans des dettes, dans des tas de
soucis,
Tu maigris, t'accumules les crédits pour tous ces tas de
conneries,
Vous ne voyiez pas le mal que vous faites,
Combien vous font plaisir et style dés que fini votre grande
fête,
Moi j'veux pas te faire ça, j 't'aime trop pour ça,
Mam laisse moi faire mes choix qu'ils soient bons ou pas,
J'suis déjà a**ez mal comme ça,
Ils disent tous me comprendre mais ils me connaissent pas,
Mam on s'entends mais on s'écoute pas,
Ca m'fait mal, car je sais que ça changeras pas,
[Refrain] :
Ayie Maman,
T'as choisis la France pour nous sauver,
Ta fuit la souffrance pour nous élever
T'as fais des boulots qui t'on rabaissé pour voir tes enfants
manger,
Ayie Maman,
Aujourd'hui j'embrasse tes pieds,
Quand t'es déçue de moi j' suis effrayé,
J'ai peur que la mort vienne te chercher,
J'ai peur qu' tu partes pleines de regrets,
Ayie....
J'suis né de ce peuple, comorien,
L'aboutissement de deux êtres,
Génération 80,
J'vais avoir du mal à vivre mon quart de siècle,
Drogué aux promesses trop p't**,
Plus grand, plus tard j'ai vu qu'les illusions faussait
souvent nos esprits,
Tu sais c' qu'on dit,
l'amour c' est bon et fort au début mais il s'dégrade,
Quand les familles font un mélange de trop d'abus,
Mam, tu m'as fait naître ici ton cœur était la bas,
Moi j'ai grandis ici, tu voudrais me voir vivre la bas,
La bas où on mélange les coutumes et religions,
Où on a peur d'accepter l'autre,
Car c'est le contraire de nos traditions,
Contradiction faite, dés lors,
Où vos mariages roulent sur l'or,
Et vous avez du mal à vivre avec vos dettes,
Mam, s'te plait ouvre les yeux,
Car le proverbe ne dit pas loin du cœur, près des yeux,
J'finis par me dire, qu'on vit pour l'autre,on tue pour
l'autre,
Mais dit toi qu'on partira seul sans l'autre,
Tant de choses que j'voudrais te dire,
Tant de choses que j'ai faites, dont j'ai malheureusement
peur de te les dire,
Marre d'te voir verser des larmes,
Car ça me fais autant de mal que ça ajoute trop de péchés à
mon âme,
Ton exemple d'amour de votre part prématuré,
Trop de cousins et cousines dégoûtés d' vous avoir écouté,
Les nerfs car j' veux pas subir la même chose qu'eux,
Les nerfs quand celle que j' veux t'as pas dénier l'avoir,
Alors quand, tu m' parles famille, ceux qui cherche le
bonheur,
L'intérêt qu'il y a dans tes actes, quand toi tu m'parles
d'honneur,
Français mais comorien j' renie pas mes origines,
Mais c 'qui me gêne c'est qu'on s'entête alors que tu restes
mon oxygène
Je voulais que tu saches que j'n'ai jamais voulus hausser la
voix contre toi
Jamais voulus te faire de la peine mais des fois j'suis
maladroit
Jcrois que j't'aime trop c'est ça,
Ca me rend fou qu'on s'entende pas
j'ai du hériter de ta tête de mule c'est ça,
t'avais raison, l'autre était une pute,
elle a niqué ma vie et celle de mon quai mal
elle était trop en rute,
maintenant j'ai l'air con,
toutes ces fois où on s'est déchirés pour elle, j'ai honte,
j'monte tous doucement chaque palier de mon rétablissement,
si tu savais c'que j'ai faillit faire tu m' mettrais à la
Soli pour faire couler son sang,
mais dieu merci j'ai des potes, qui valent la prunelle de tes
yeux,
ils me remontent chaque fois que je me descends,
j'avoue qu' ça a pas arrangé,
l'opinion que j'avais du mariage comorien ça a même empiré,
Ne me demande plus de changer,
Mais plaies se sont encore plus allé depuis que mon père
s'est remarié,
Tu sais, pour moi c'est dur de voir tous ces millions
gaspillés
Quand je sais q'au bled Coco n'a rien à manger,
En plus t'es plongée dans des dettes, dans des tas de
soucis,
Tu maigris, t'accumules les crédits pour tous ces tas de
conneries,
Vous ne voyiez pas le mal que vous faites,
Combien vous font plaisir et style dés que fini votre grande
fête,
Moi j'veux pas te faire ça, j 't'aime trop pour ça,
Mam laisse moi faire mes choix qu'ils soient bons ou pas,
J'suis déjà a**ez mal comme ça,
Ils disent tous me comprendre mais ils me connaissent pas,
Mam on s'entends mais on s'écoute pas,
Ca m'fait mal, car je sais que ça changeras pas,
[Refrain] :
Ayie Maman,
T'as choisis la France pour nous sauver,
Ta fuit la souffrance pour nous élever
T'as fais des boulots qui t'on rabaissé pour voir tes enfants
manger,
Ayie Maman,
Aujourd'hui j'embrasse tes pieds,
Quand t'es déçue de moi j' suis effrayé,
J'ai peur que la mort vienne te chercher,
J'ai peur qu' tu partes pleines de regrets,
Ayie....
J'suis né de ce peuple, comorien,
L'aboutissement de deux êtres,
Génération 80,
J'vais avoir du mal à vivre mon quart de siècle,
Drogué aux promesses trop p't**,
Plus grand, plus tard j'ai vu qu'les illusions faussait
souvent nos esprits,
Tu sais c' qu'on dit,
l'amour c' est bon et fort au début mais il s'dégrade,
Quand les familles font un mélange de trop d'abus,
Mam, tu m'as fait naître ici ton cœur était la bas,
Moi j'ai grandis ici, tu voudrais me voir vivre la bas,
La bas où on mélange les coutumes et religions,
Où on a peur d'accepter l'autre,
Car c'est le contraire de nos traditions,
Contradiction faite, dés lors,
Où vos mariages roulent sur l'or,
Et vous avez du mal à vivre avec vos dettes,
Mam, s'te plait ouvre les yeux,
Car le proverbe ne dit pas loin du cœur, près des yeux,
J'finis par me dire, qu'on vit pour l'autre,on tue pour
l'autre,
Mais dit toi qu'on partira seul sans l'autre,
Tant de choses que j'voudrais te dire,
Tant de choses que j'ai faites, dont j'ai malheureusement
peur de te les dire,
Marre d'te voir verser des larmes,
Car ça me fais autant de mal que ça ajoute trop de péchés à
mon âme,
Ton exemple d'amour de votre part prématuré,
Trop de cousins et cousines dégoûtés d' vous avoir écouté,
Les nerfs car j' veux pas subir la même chose qu'eux,
Les nerfs quand celle que j' veux t'as pas dénier l'avoir,
Alors quand, tu m' parles famille, ceux qui cherche le
bonheur,
L'intérêt qu'il y a dans tes actes, quand toi tu m'parles
d'honneur,
Français mais comorien j' renie pas mes origines,
Mais c 'qui me gêne c'est qu'on s'entête alors que tu restes
mon oxygène