Ce soir-là, je me prom'nais av'nue de l'océan
C'était à l'heure des goélands
Et puis, j'ai aperçu au port
Ce grand oiseau bizarre
Encore prisonnier de ses amarres
Hé! comment tu t'appelles?
Florence.
Mais, c'est un nom d'ville, ça.
Avec des places, des églises...
Des italiens, qui mangent des glaces..
Alors, appell'moi Flo!
Méfie-toi de la terre
Elle est dure comme la pierre
Comme les hommes
Que l'on nomme
Aux frontières
Méfie-toi de la multitude
Il y a tant de solitude
Quelques fois quand je rêve au sud
Je reviens...
Voir la mer...
Quelques phares brillent dans le noir
Ton regard est rempli d'histoires
Le coeur est un voyageur
Quelque part... c'est toujours ailleurs
Chaque soir est un jour qui pleure
Le coeur est un voyageur
Et toi, comment tu t'appelles?
Pierre.
C'est un nom d'caillou, ça.
A naufrager les bateaux.
Et le vent nous apprend la vie
Les ouragans, la mélancolie
Mais le coeur comme un cerf-volant
Va plus loin...
Que le vent...
Quelques phares brillent dans le noir
Ton regard est rempli d'histoires
Le coeur est un voyageur
Quelque part, c'est toujours ailleurs
Chaque soir est un jour qui pleure
Le coeur est un voyageur
Mais à peine sur le quai de pierre
Comme un oiseau du vent soudain malhabile
Tu t'es mise à chanc'ler sur la terre immobile.
Et... je savais déjà qu'avec ce mal de terre
Il te faudrait bientôt reprendre la mer.
C'était à l'heure des goélands
Et puis, j'ai aperçu au port
Ce grand oiseau bizarre
Encore prisonnier de ses amarres
Hé! comment tu t'appelles?
Florence.
Mais, c'est un nom d'ville, ça.
Avec des places, des églises...
Des italiens, qui mangent des glaces..
Alors, appell'moi Flo!
Méfie-toi de la terre
Elle est dure comme la pierre
Comme les hommes
Que l'on nomme
Aux frontières
Méfie-toi de la multitude
Il y a tant de solitude
Quelques fois quand je rêve au sud
Je reviens...
Voir la mer...
Quelques phares brillent dans le noir
Ton regard est rempli d'histoires
Le coeur est un voyageur
Quelque part... c'est toujours ailleurs
Chaque soir est un jour qui pleure
Le coeur est un voyageur
Et toi, comment tu t'appelles?
Pierre.
C'est un nom d'caillou, ça.
A naufrager les bateaux.
Et le vent nous apprend la vie
Les ouragans, la mélancolie
Mais le coeur comme un cerf-volant
Va plus loin...
Que le vent...
Quelques phares brillent dans le noir
Ton regard est rempli d'histoires
Le coeur est un voyageur
Quelque part, c'est toujours ailleurs
Chaque soir est un jour qui pleure
Le coeur est un voyageur
Mais à peine sur le quai de pierre
Comme un oiseau du vent soudain malhabile
Tu t'es mise à chanc'ler sur la terre immobile.
Et... je savais déjà qu'avec ce mal de terre
Il te faudrait bientôt reprendre la mer.