Elles arrivent au printemps
sur les ailes du vents,
par les routes de l'air.
Drôle de géométrie,
C'est un fil qui les lie,
Dans leur vole angulaire.
Tout unies a la chaîne
Derrière l'oie capitaine,
Qui connait le chemin.
Le nid originel,
la toundra, les appelles,
Et guide leurs instincts.
Tour à tour elles prendront,
la tête du peloton,
le temps d'une gouvernance.
Jusqu'au bout de leurs forces
elles bomberont le torse
pour que le groupe avance.
Une fois épuisée,
la place sera cédée
a un autre plus fort.
Et le chef volatile,
prend la queue de la file,
fier de tous ces efforts.
À chaque nouveau passage,
des volée d'oies sauvages
j'entend comme un appelle;
Une voie qui me répète
que malgré les défaites
ont a encore nos ailes.
Quelle belle leçon
que ces oiseaux nous font
obstinée et fidèle.
Faudra qu'on se console
et qu'ensemble on s'envole...
Dans les draps bleus du ciel.
sur les ailes du vents,
par les routes de l'air.
Drôle de géométrie,
C'est un fil qui les lie,
Dans leur vole angulaire.
Tout unies a la chaîne
Derrière l'oie capitaine,
Qui connait le chemin.
Le nid originel,
la toundra, les appelles,
Et guide leurs instincts.
Tour à tour elles prendront,
la tête du peloton,
le temps d'une gouvernance.
Jusqu'au bout de leurs forces
elles bomberont le torse
pour que le groupe avance.
Une fois épuisée,
la place sera cédée
a un autre plus fort.
Et le chef volatile,
prend la queue de la file,
fier de tous ces efforts.
À chaque nouveau passage,
des volée d'oies sauvages
j'entend comme un appelle;
Une voie qui me répète
que malgré les défaites
ont a encore nos ailes.
Quelle belle leçon
que ces oiseaux nous font
obstinée et fidèle.
Faudra qu'on se console
et qu'ensemble on s'envole...
Dans les draps bleus du ciel.