Nos destins s'entrelacent en traces irréversibles.
J'ai comme tatoué sur la face quelques lignes indivisibles.
J'ai poursuivi des ombres, désavoué la lumière, dispersé dans le nombre, le doute, les larmes et la colère.
On effacerait bien le passé, si l'on peut rien oublier.
Qu'on s'y trouve, qu'on désespère, plus rien n'est à refaire.
Tant de portes qui s'ouvrent, de regards qui se ferment, de silhouettes à contre jour et de cailloux que l'on sème.
Quand le silence nous rend sourds la vérité nous saigne.
On effacerait bien le passé, si l'on peut rien oublier.
Qu'on s'y trouve, qu'on désespère, plus rien n'est à refaire.
Y' a pas de touche rewind, pas de retour au départ.
Le train pour hier est reparti, c'est trop tard.
Dans la salle d'attente, on se croirait dans un dortoir.
Devine qui nous attend à la prochaine gare.
Les histoires qui nous croisent nous construisent une à une, certaines en statues de glace, certaines en soldats de fortune.
Mes valises sont pleines de poussière et de vent.
Les idées qui m'a**énent vous contiennent bien autrement.
On effacerait bien le passé, si l'on peut rien oublier.
Qu'on s'y trouve, qu'on désespère, plus rien n'est à refaire.
Ya pas de frein à la machine pas de marche arrière.
Dis-moi où je vais si je regarde derrière.
Je fais deux pas en avant et un pas de travers.
Pour rattraper le temps dans les tunnels j'accélère..
J'accelère!!
Accelere!!
J'ai comme tatoué sur la face quelques lignes indivisibles.
J'ai poursuivi des ombres, désavoué la lumière, dispersé dans le nombre, le doute, les larmes et la colère.
On effacerait bien le passé, si l'on peut rien oublier.
Qu'on s'y trouve, qu'on désespère, plus rien n'est à refaire.
Tant de portes qui s'ouvrent, de regards qui se ferment, de silhouettes à contre jour et de cailloux que l'on sème.
Quand le silence nous rend sourds la vérité nous saigne.
On effacerait bien le passé, si l'on peut rien oublier.
Qu'on s'y trouve, qu'on désespère, plus rien n'est à refaire.
Y' a pas de touche rewind, pas de retour au départ.
Le train pour hier est reparti, c'est trop tard.
Dans la salle d'attente, on se croirait dans un dortoir.
Devine qui nous attend à la prochaine gare.
Les histoires qui nous croisent nous construisent une à une, certaines en statues de glace, certaines en soldats de fortune.
Mes valises sont pleines de poussière et de vent.
Les idées qui m'a**énent vous contiennent bien autrement.
On effacerait bien le passé, si l'on peut rien oublier.
Qu'on s'y trouve, qu'on désespère, plus rien n'est à refaire.
Ya pas de frein à la machine pas de marche arrière.
Dis-moi où je vais si je regarde derrière.
Je fais deux pas en avant et un pas de travers.
Pour rattraper le temps dans les tunnels j'accélère..
J'accelère!!
Accelere!!