ans la nuit chaude tu ressemble à un fantôme
Dans tes rues désertes pas une âme pas un mot
Soudain te secoue un bruit que tu connais trop
Une odeur de fuel c'est les chars d'a**aut
Ils te pénètrent ils te violent et te mutilent
Ils veulent te soumettre ils veulent que tu sois docile
Ils ont des fusils des canons des hélicoptères
Pour te faire subir l'occupation militaire
TULKAREM Je ne t'oublierai pas
TULKAREM Je leur parlerai de toi
Ils coupent tes routes et tes canalisations
Tu n'as plus d'école plus d'administration
C'est le couvre-feu ils t'on changée en prison
Tu dois supporter toutes les humiliations
Des cris et des pleurs un enfant que l'on ramasse
Une balle dans la tête contre une pauvre caillasse
Ils sont sur les toits tu as peur et t'as la rage
Y a-t-il un espoir que s'arrête ce carnage?
TULKAREM Je ne t'oublierai pas
TULKAREM Je leur parlerai de toi
Ils sont juste là à 200 mètres de toi
C'est l'Amérique là dans toutes ces villas
Et toi tu survis tous les jours tu reconstruis
Tu t'organise mais tous les jours on te détruis
Explosions destruction tu vis sous occupation
Contrôle militaire cinquante ans que c'est la guerre
Expulsions confiscations c'est la colonisation
La terreur le malheur cinquante ans que c'est l'horreur
Dans tes rues désertes pas une âme pas un mot
Soudain te secoue un bruit que tu connais trop
Une odeur de fuel c'est les chars d'a**aut
Ils te pénètrent ils te violent et te mutilent
Ils veulent te soumettre ils veulent que tu sois docile
Ils ont des fusils des canons des hélicoptères
Pour te faire subir l'occupation militaire
TULKAREM Je ne t'oublierai pas
TULKAREM Je leur parlerai de toi
Ils coupent tes routes et tes canalisations
Tu n'as plus d'école plus d'administration
C'est le couvre-feu ils t'on changée en prison
Tu dois supporter toutes les humiliations
Des cris et des pleurs un enfant que l'on ramasse
Une balle dans la tête contre une pauvre caillasse
Ils sont sur les toits tu as peur et t'as la rage
Y a-t-il un espoir que s'arrête ce carnage?
TULKAREM Je ne t'oublierai pas
TULKAREM Je leur parlerai de toi
Ils sont juste là à 200 mètres de toi
C'est l'Amérique là dans toutes ces villas
Et toi tu survis tous les jours tu reconstruis
Tu t'organise mais tous les jours on te détruis
Explosions destruction tu vis sous occupation
Contrôle militaire cinquante ans que c'est la guerre
Expulsions confiscations c'est la colonisation
La terreur le malheur cinquante ans que c'est l'horreur