C'était un soir tranquille
Dans les rues de ma ville
La lune etait pleine et belle
Pourtant j'avais l'coeur en chrysantheme
Sur le parvis d'la chapelle
Dormaient les hirondelles
Au milieu de la nuit
J'ai r'garder defiler toute ma vie
A m'entendre dechirer la voix
Dans ces bistrots
A en regarder degobiller mes tripes
Pour une bande de poivrots
Les lampadaire s'bousculaient
Dans le fracas de l'été
Les voitures s'en allaient
Dans un faux chaos géminé
Alors la nuit pris le dessus
Offrant ainsi sa vertue
Pour mieux me laisser choir
Dans un effroyable jeu de mirroirs
Où je voyais mes mains encore
Jouer si fort
Toujours dans le meme decors
A noyer mes remords
Les ruelles etaient vides
Les trottoirs m'tordaient l'bide
Et au coin d'une impasse
Mes pensées ont commencées leur brasses
a**is sur la place du marché
Dans l'ciel les etoiles s'détachaient
Mon coeur battait plus vite
Mes émotions prenaient la fuite
Pour m'répéter une derniere fois
"Regarde toi"
Pour m'expliquer encore une fois
"C'est pas pour toi"
Le silence aguicheur
Qui me pressait le coeur
Avait trouvé la faille
Dans le chahut de mes représailles
Il avait tout compris
Lui mon meilleur amis
Avec l'aide du vent
Il m'a soufflé tout doucement
Va donc gueuler dans tous ces bistrots
Ces quelques mots
Tu verra que le monde est beau
Que le monde est beau
Même s'il est rempli de badauds
Sans opinion
Même s'ils s'en font sur ton dos
Tous ces patrons
Y'a tous ceux qui ont comme toi
Besoin de tes mots
Que tu t'egosille la voix
Pour lacher leur fardeau
C'était un soir tranquille
Dans les rues de ma ville
La lune etait pleine et belle
Pourtant j'avais ... le coeur ... en chrysantheme
Dans les rues de ma ville
La lune etait pleine et belle
Pourtant j'avais l'coeur en chrysantheme
Sur le parvis d'la chapelle
Dormaient les hirondelles
Au milieu de la nuit
J'ai r'garder defiler toute ma vie
A m'entendre dechirer la voix
Dans ces bistrots
A en regarder degobiller mes tripes
Pour une bande de poivrots
Les lampadaire s'bousculaient
Dans le fracas de l'été
Les voitures s'en allaient
Dans un faux chaos géminé
Alors la nuit pris le dessus
Offrant ainsi sa vertue
Pour mieux me laisser choir
Dans un effroyable jeu de mirroirs
Où je voyais mes mains encore
Jouer si fort
Toujours dans le meme decors
A noyer mes remords
Les ruelles etaient vides
Les trottoirs m'tordaient l'bide
Et au coin d'une impasse
Mes pensées ont commencées leur brasses
a**is sur la place du marché
Dans l'ciel les etoiles s'détachaient
Mon coeur battait plus vite
Mes émotions prenaient la fuite
Pour m'répéter une derniere fois
"Regarde toi"
Pour m'expliquer encore une fois
"C'est pas pour toi"
Le silence aguicheur
Qui me pressait le coeur
Avait trouvé la faille
Dans le chahut de mes représailles
Il avait tout compris
Lui mon meilleur amis
Avec l'aide du vent
Il m'a soufflé tout doucement
Va donc gueuler dans tous ces bistrots
Ces quelques mots
Tu verra que le monde est beau
Que le monde est beau
Même s'il est rempli de badauds
Sans opinion
Même s'ils s'en font sur ton dos
Tous ces patrons
Y'a tous ceux qui ont comme toi
Besoin de tes mots
Que tu t'egosille la voix
Pour lacher leur fardeau
C'était un soir tranquille
Dans les rues de ma ville
La lune etait pleine et belle
Pourtant j'avais ... le coeur ... en chrysantheme