C´était au temps de la préhistoire
Voici deux ou trois cent mille ans
Vint au monde un être bizarre
Proche parent de l´orang-outan
a**is sur ses pattes de derrière
Vêtu d´un slip en peau de bison
Il allait conquérir la terre
C´était l´homme de Cro-Magnon
{Refrain:}
L´homme de Cro,
L´homme de Ma, l´homme de Gnon
L´homme de Cro-Magnon, pon pon
{x2}
L´homme de Cro, de Magnon
Ce n´est pas du bidon
L´homme de Cro-Magnon
Pon-pon
Armé de sa hache de pierre
De son couteau de pierre itou
Il chassait l´ours et la panthère
En serrant les fesses malgré tout
Devant l´diplodocus en rage
Il était tout d´même un peu petit
Et se disait dans son langage :
Vivement qu´on invente le fusil
{Au refrain}
Il était poète à ses heures
Disait à sa femme en émoi
Tu es belle comme un dinosaure
Tu ressembles à Garbo Gretta
Si tu veux voir des cartes postales,
Monte dans ma caverne tout là-haut
J´te ferai voir mes peintures murales
On dirai du vrai Picasso
{Au refrain}
Trois cent mille ans après sur terre
Comme nos ancêtres nous admirons
Les monts, les bois et les rivières
Mais s´il revenait quelle déception
De nous voir suer six jours sur sept
Il dirait sans faire de détail
Vraiment que nos descendants sont bêtes
D´avoir inventé le travail!
Voici deux ou trois cent mille ans
Vint au monde un être bizarre
Proche parent de l´orang-outan
a**is sur ses pattes de derrière
Vêtu d´un slip en peau de bison
Il allait conquérir la terre
C´était l´homme de Cro-Magnon
{Refrain:}
L´homme de Cro,
L´homme de Ma, l´homme de Gnon
L´homme de Cro-Magnon, pon pon
{x2}
L´homme de Cro, de Magnon
Ce n´est pas du bidon
L´homme de Cro-Magnon
Pon-pon
Armé de sa hache de pierre
De son couteau de pierre itou
Il chassait l´ours et la panthère
En serrant les fesses malgré tout
Devant l´diplodocus en rage
Il était tout d´même un peu petit
Et se disait dans son langage :
Vivement qu´on invente le fusil
{Au refrain}
Il était poète à ses heures
Disait à sa femme en émoi
Tu es belle comme un dinosaure
Tu ressembles à Garbo Gretta
Si tu veux voir des cartes postales,
Monte dans ma caverne tout là-haut
J´te ferai voir mes peintures murales
On dirai du vrai Picasso
{Au refrain}
Trois cent mille ans après sur terre
Comme nos ancêtres nous admirons
Les monts, les bois et les rivières
Mais s´il revenait quelle déception
De nous voir suer six jours sur sept
Il dirait sans faire de détail
Vraiment que nos descendants sont bêtes
D´avoir inventé le travail!