Le nez droit dans la joue à deux doigts d'étouffer
Les lèvres écrasées et tenir enfermé
Le parfum de la peau des velours en surface
Pour y trouver plus pur plus qu'à l'accoutumée
Dans le flou des cheveux entamer leur odeur
Celle qui donne sa force à qui l'a respirée
Pour s'y perdre comme on plonge à la tranquillité
Où quelques bras agiles délacent les corsets
Et puis poser la main sur la peau ce velours
Y chercher du bout des doigts le son parfait
Y reconnaître enfin le duvet délicat
Et traîner sans l'espoir d'y être un jour comblé
Alors un geste clôt brutalement l'étreinte
Fait entendre qu'aujourd'hui la peau douce a changé
Sa tiédeur a suivi, elle est bien d'un autre âge
Et ne pas compter y revenir un jour
Un autre après une autre plongera son visage
Droit vers les sombres plis du cou trouble et amer
Sans le moindre soupçon quant au passé soigné
Des duvets que parcourent ses lèvres, sa bouche
Pour y chercher pareil des tissus la senteur
Qui hante infiniment nos sens en leur tanière
Pour s'y perdre comme on plonge dans le torrent bouillant
Lorsque les mains remontent et chahutent les nerfs
Les lèvres écrasées et tenir enfermé
Le parfum de la peau des velours en surface
Pour y trouver plus pur plus qu'à l'accoutumée
Dans le flou des cheveux entamer leur odeur
Celle qui donne sa force à qui l'a respirée
Pour s'y perdre comme on plonge à la tranquillité
Où quelques bras agiles délacent les corsets
Et puis poser la main sur la peau ce velours
Y chercher du bout des doigts le son parfait
Y reconnaître enfin le duvet délicat
Et traîner sans l'espoir d'y être un jour comblé
Alors un geste clôt brutalement l'étreinte
Fait entendre qu'aujourd'hui la peau douce a changé
Sa tiédeur a suivi, elle est bien d'un autre âge
Et ne pas compter y revenir un jour
Un autre après une autre plongera son visage
Droit vers les sombres plis du cou trouble et amer
Sans le moindre soupçon quant au passé soigné
Des duvets que parcourent ses lèvres, sa bouche
Pour y chercher pareil des tissus la senteur
Qui hante infiniment nos sens en leur tanière
Pour s'y perdre comme on plonge dans le torrent bouillant
Lorsque les mains remontent et chahutent les nerfs