Ici [...] ne se compte plus.
Parfois le temps prend le sien et semble s'enrouler sur lui-même.
L'embrassant dans sa suffocante étreinte, le sang lui monte à la tête.
Nourrissant ses craintes [...] plane.
L'attente attisant le feu de ses nerfs qui se tendent sous l'effort qui parfois parait insurmontable.
Il sent le poids de toutes ses attentes passées sur [...].
Soudain, le serpent [...] lâche sa prise, et c'est maintenant à lui de rafler la mise.
Il fait appel à son mental de guerrier, sa cible ne doit pas lui échapper.
Affaibli par le poison du serpent, le fauve sait qu'il n'a pas le droit à l'erreur, s'il rate sa cible, il meurt.
Il laisse parler enfin son instinct de survie, les doutes et les craintes sont envoyés à leur [...].
Ses yeux se [...], concentrés sur l'objectif, il semble endormi mais ses muscles tendus le trahissent.
Ca y est, il bondit.
Ses griffes entrent le vent, ses crocs déjà se referment sur [...].
Le combat fait rage, le jaguar gronde, souffle, rugit.
Sa fureur enforcée par son fluide permet de repousser ses limites d'atteinte en ce but, qui presse l'envie.
Enfin, à bout de souffle il achève son ennemi. De cette lutte il ressort à jamais grandi.
Mais c'est une histoire qui ne se raconte pas, elle se vit.
Parfois le temps prend le sien et semble s'enrouler sur lui-même.
L'embrassant dans sa suffocante étreinte, le sang lui monte à la tête.
Nourrissant ses craintes [...] plane.
L'attente attisant le feu de ses nerfs qui se tendent sous l'effort qui parfois parait insurmontable.
Il sent le poids de toutes ses attentes passées sur [...].
Soudain, le serpent [...] lâche sa prise, et c'est maintenant à lui de rafler la mise.
Il fait appel à son mental de guerrier, sa cible ne doit pas lui échapper.
Affaibli par le poison du serpent, le fauve sait qu'il n'a pas le droit à l'erreur, s'il rate sa cible, il meurt.
Il laisse parler enfin son instinct de survie, les doutes et les craintes sont envoyés à leur [...].
Ses yeux se [...], concentrés sur l'objectif, il semble endormi mais ses muscles tendus le trahissent.
Ca y est, il bondit.
Ses griffes entrent le vent, ses crocs déjà se referment sur [...].
Le combat fait rage, le jaguar gronde, souffle, rugit.
Sa fureur enforcée par son fluide permet de repousser ses limites d'atteinte en ce but, qui presse l'envie.
Enfin, à bout de souffle il achève son ennemi. De cette lutte il ressort à jamais grandi.
Mais c'est une histoire qui ne se raconte pas, elle se vit.