Cheminant a la ville
Mes nuits et mes deniers en poche
De mon village tranquille
Une fourche mene a Rome, l'autre a la fosse
Mais tout au long du parcours
Je laisserai des traces pour mon retour
Cheminant a la ville
Sans crainte que je ne m'eparpille
Dejeuner en main
L'auberge n'entravera pas mon chemin
L'eau claire me suffira bien
Oh, de mon or, tu n'en auras point
Gare aux embuches, marche lentement
Les deux pieds a terre, mais le nez dans le vent
Du parfum des roses a l'attrait des ronces
L'appel de la foule et son silence
Ah, ce chemin
Comme il a vieilli sous mes pas
J'en reconnais
De ses mirages l'appel toujours fuyant
Ainsi des pelerins d'antan
Les dieux toujours fixes sur l'horizon
Et des que je serai
Parmi les tours et les vautours
Je me dirigerai
Sans aucun detour vers le marche
A la fin de la journee
Je suivrai les reperes que j'ai semes
Mes nuits et mes deniers en poche
De mon village tranquille
Une fourche mene a Rome, l'autre a la fosse
Mais tout au long du parcours
Je laisserai des traces pour mon retour
Cheminant a la ville
Sans crainte que je ne m'eparpille
Dejeuner en main
L'auberge n'entravera pas mon chemin
L'eau claire me suffira bien
Oh, de mon or, tu n'en auras point
Gare aux embuches, marche lentement
Les deux pieds a terre, mais le nez dans le vent
Du parfum des roses a l'attrait des ronces
L'appel de la foule et son silence
Ah, ce chemin
Comme il a vieilli sous mes pas
J'en reconnais
De ses mirages l'appel toujours fuyant
Ainsi des pelerins d'antan
Les dieux toujours fixes sur l'horizon
Et des que je serai
Parmi les tours et les vautours
Je me dirigerai
Sans aucun detour vers le marche
A la fin de la journee
Je suivrai les reperes que j'ai semes