Ah! tout est bien fini.
Mon beau rêve de gloire,
mes rêves de bonheur
s'envolent à jamais!
Tu m'as pris mon amour,
tu me prends la victoire,
Seigneur, je me soumets!
O souverain, ô juge, ô père,
toujours voilé, présent toujours,
je t'adorais au temps prospère,
et te bénis aux sombres jour.
Je vais où ta loi me réclame,
libre de tous regrets humains.
O souverain, ô juge, ô père,
ta seule image est dans mon âme
que je remets entre tes mains.
O firmament azur, lumière,
esprits d'en haut, penchés sur moi,
c'est le soldat que désespère,
mais le chrétien garde sa foi.
Tu peux venir, tu peux paraître,
aurore du jour éternel.
O souverain, ô juge, ô père!
Le serviteur d'un juste maître
répond sans crainte à ton appel,
ô souverain, ô juge, ô père!
Mon beau rêve de gloire,
mes rêves de bonheur
s'envolent à jamais!
Tu m'as pris mon amour,
tu me prends la victoire,
Seigneur, je me soumets!
O souverain, ô juge, ô père,
toujours voilé, présent toujours,
je t'adorais au temps prospère,
et te bénis aux sombres jour.
Je vais où ta loi me réclame,
libre de tous regrets humains.
O souverain, ô juge, ô père,
ta seule image est dans mon âme
que je remets entre tes mains.
O firmament azur, lumière,
esprits d'en haut, penchés sur moi,
c'est le soldat que désespère,
mais le chrétien garde sa foi.
Tu peux venir, tu peux paraître,
aurore du jour éternel.
O souverain, ô juge, ô père!
Le serviteur d'un juste maître
répond sans crainte à ton appel,
ô souverain, ô juge, ô père!