Elle regarde étonnée la saisissante image
Des hordes qui déboulent sur son petit village
C'est Attila le Hun qui descend des collines
Sur son cheval nain cruel jusqu'aux babines
Elle sort son maquillage, elle se poudre le nez
Chouette encore un pillage, elle va bien s'amuser
A travers la poussière de la lourde cavalcade
Des faces sanguinaires c**butent les palissades
Entre les bruits de lance et les jurons barbares
Elle défait en silence ses longues tresses noires
Elle parfume les secrets de son corps qu'elle immole
Aux instincts fous furieux des Mongols
Elle regarde s'enfuir à travers les blés murs
Le fade souvenir des journées sans aventure
Seule dans sa robe blanche au milieu du tumulte
Elle balance ses hanches comme un objet de c**te
Lorsque deux bras virils l'arrachèrent du sol
Elle se montra docile : Dieu que la vie est folle !
Sur son poney musclé un seigneur de la guerre
Lui fit sans hésiter bel et bien son affaire
Elle se saoule de l'odeur forte et fauve de l'homme
Sauvage qui l'attire et l'étonne
Les rayons du soleil éclairaient sur la plaine
Les restes du carnage les flèches dans les bedaines
"Coupez !, dit la régie, c'est pas a**ez obscène
On n'a pas vu l'zizi, on recommence toute la scène !"
Elle regarde étonnée la saisissante image
Des hordes qui déboulent sur son petit village
C'est Attila le Hun qui descend des collines
Sur son cheval nain cruel jusqu'aux babines
Des hordes qui déboulent sur son petit village
C'est Attila le Hun qui descend des collines
Sur son cheval nain cruel jusqu'aux babines
Elle sort son maquillage, elle se poudre le nez
Chouette encore un pillage, elle va bien s'amuser
A travers la poussière de la lourde cavalcade
Des faces sanguinaires c**butent les palissades
Entre les bruits de lance et les jurons barbares
Elle défait en silence ses longues tresses noires
Elle parfume les secrets de son corps qu'elle immole
Aux instincts fous furieux des Mongols
Elle regarde s'enfuir à travers les blés murs
Le fade souvenir des journées sans aventure
Seule dans sa robe blanche au milieu du tumulte
Elle balance ses hanches comme un objet de c**te
Lorsque deux bras virils l'arrachèrent du sol
Elle se montra docile : Dieu que la vie est folle !
Sur son poney musclé un seigneur de la guerre
Lui fit sans hésiter bel et bien son affaire
Elle se saoule de l'odeur forte et fauve de l'homme
Sauvage qui l'attire et l'étonne
Les rayons du soleil éclairaient sur la plaine
Les restes du carnage les flèches dans les bedaines
"Coupez !, dit la régie, c'est pas a**ez obscène
On n'a pas vu l'zizi, on recommence toute la scène !"
Elle regarde étonnée la saisissante image
Des hordes qui déboulent sur son petit village
C'est Attila le Hun qui descend des collines
Sur son cheval nain cruel jusqu'aux babines