Si vous n'avez rien à me dire,
Pourquoi venir auprès de moi ?
Pourquoi me faire ce sourire
Dont la douceur m'emplit d'émoi ?
Si vous n'avez rien à m'offrir
Qu'un peu de trouble, de désarroi,
Si vous n'avez rien à me dire,
Pourquoi venir auprès de moi ?
Si vous n'avez rien à m'apprendre,
Pourquoi me pressez-vous la main ?
À quel rêve angélique et tendre,
Avez-vous songé en chemin ?
Si vraiment je ne peux m'attendre
Qu'à des instants sans lendemain,
Si vous n'avez rien à m'apprendre,
Pourquoi me pressez-vous la main ?
Si vous voulez que je m'en aille,
Pourquoi passez-vous par ici ?
Lorsque je vous vois, je défaille :
C'est ma joie et c'est mon souci.
Si vous n'avez rien à m'offrir
Que tout ce trouble, ce désarroi,
Si vous n'avez rien à me dire,
Pourquoi venir auprès de moi ?
Si vous n'avez rien à me dire,
Pourquoi venir auprès de moi ?
Pourquoi venir auprès de moi ?
Pourquoi me faire ce sourire
Dont la douceur m'emplit d'émoi ?
Si vous n'avez rien à m'offrir
Qu'un peu de trouble, de désarroi,
Si vous n'avez rien à me dire,
Pourquoi venir auprès de moi ?
Si vous n'avez rien à m'apprendre,
Pourquoi me pressez-vous la main ?
À quel rêve angélique et tendre,
Avez-vous songé en chemin ?
Si vraiment je ne peux m'attendre
Qu'à des instants sans lendemain,
Si vous n'avez rien à m'apprendre,
Pourquoi me pressez-vous la main ?
Si vous voulez que je m'en aille,
Pourquoi passez-vous par ici ?
Lorsque je vous vois, je défaille :
C'est ma joie et c'est mon souci.
Si vous n'avez rien à m'offrir
Que tout ce trouble, ce désarroi,
Si vous n'avez rien à me dire,
Pourquoi venir auprès de moi ?
Si vous n'avez rien à me dire,
Pourquoi venir auprès de moi ?