1996 (Paroles:- Françoise Hardy, Musique:- Alain Lubrano)
tu te croyais à l'abri du danger:
tu avais fermé la porte, tout rangé
tiré quelques traits
gommé des portraits
des ratures, des bavures
camouflé les blessures
de ta vie
tout rangé...
comment pouvais-tu sentir le danger?
tu récitais ta leçon, sans bouger
rendais les devoirs
jamais en r*****
appliquais les consignes
sans lire entre les lignes
de ta vie
sans bouger...
tu n'auras pas vu venir le danger
il ne te reste plus rien: tout changer
revoir ta copie
remuer les amis
les ennuis, les envies
les désirs et les sens
de ta vie
tout changer...
je voudrais t'amener
tout ce qui fait du bien
pouvoir redessiner
les lignes de ta main
conjurer le malheur
être a**ez forte pour deux
mais je retiens mes larmes, mes rêves
mes cris...
et je voudrais te dire
ça ira mieux demain
t'arracher un sourire
mais tu n'entends plus rien
c'est peut-être la peur
qui rend aveugle et sourd
qui étrangle l'amour
en étouffe pour toujours
les cris...
tu te croyais à l'abri du danger:
tu avais fermé la porte, tout rangé
tiré quelques traits
gommé des portraits
des ratures, des bavures
camouflé les blessures
de ta vie
tout rangé...
comment pouvais-tu sentir le danger?
tu récitais ta leçon, sans bouger
rendais les devoirs
jamais en r*****
appliquais les consignes
sans lire entre les lignes
de ta vie
sans bouger...
tu n'auras pas vu venir le danger
il ne te reste plus rien: tout changer
revoir ta copie
remuer les amis
les ennuis, les envies
les désirs et les sens
de ta vie
tout changer...
je voudrais t'amener
tout ce qui fait du bien
pouvoir redessiner
les lignes de ta main
conjurer le malheur
être a**ez forte pour deux
mais je retiens mes larmes, mes rêves
mes cris...
et je voudrais te dire
ça ira mieux demain
t'arracher un sourire
mais tu n'entends plus rien
c'est peut-être la peur
qui rend aveugle et sourd
qui étrangle l'amour
en étouffe pour toujours
les cris...