(Alain Goldstein/Michel Jonasz)
1978
Eye-liner, cache les cernes de mes yeux
Si je pleure, on n'y verra que du feu
Moitié femme coupée en deux
Moitié sirène entre Invalides et Varennes
Voyageurs de la ligne quatorze métropolitaine
N'auront de moi que l'image d'un voyage
Hallucinogène gene gene, oh Lucie, tu gênes gene gene
Va-t'en, alors je me promène avec ma vieille mémène
Qui m'a nourrie au sein, qui me cajole et qui m'aime
Ma rêverie hallucinogène
Aie mon coeur, craque pas trop, tu me fais peur
Si par terre, je tombe, je vais avoir l'air
Moitié morte, moitié vivante
Moitié sirène entre Invalides et Varennes
Voyageurs de la ligne quatorze métropolitaine
N'auront de moi que l'image d'un voyage
Hallucinogène gene gene, oh Lucie tu gênes gene gene
Va-t'en, alors je me promène avec ma vieille mémène
Qui m'a nourrie au sein, qui me cajole et qui m'aime
Ma rêverie hallucinogène.
1978
Eye-liner, cache les cernes de mes yeux
Si je pleure, on n'y verra que du feu
Moitié femme coupée en deux
Moitié sirène entre Invalides et Varennes
Voyageurs de la ligne quatorze métropolitaine
N'auront de moi que l'image d'un voyage
Hallucinogène gene gene, oh Lucie, tu gênes gene gene
Va-t'en, alors je me promène avec ma vieille mémène
Qui m'a nourrie au sein, qui me cajole et qui m'aime
Ma rêverie hallucinogène
Aie mon coeur, craque pas trop, tu me fais peur
Si par terre, je tombe, je vais avoir l'air
Moitié morte, moitié vivante
Moitié sirène entre Invalides et Varennes
Voyageurs de la ligne quatorze métropolitaine
N'auront de moi que l'image d'un voyage
Hallucinogène gene gene, oh Lucie tu gênes gene gene
Va-t'en, alors je me promène avec ma vieille mémène
Qui m'a nourrie au sein, qui me cajole et qui m'aime
Ma rêverie hallucinogène.