Deux seins si nus contre ta peau
Qui ainsi nue me parlent à mi-mots :
Tu insinues que j'en ai trop
Des certitudes
Qui ne volent pas haut
J'ai mis des colliers à mon cou
Pour ne pas affronter les discours
Je me suis mise même à genoux
Jusqu'à m'empêcher d'être à vous
Je n'ai pas bien su entendre le bruit
Du monde qui frappait à ma vie
J'ai mis des colliers à mon cou
Pour ne pas grandir d'un seul coup
Pour arranger ceux qui m'aimaient
En me conservant leur petite
Deux seins si nus contre ta peau
Toi qui m'invite à parler bien haut
Si tu m'agites c"est tendrement
J'aime cette magie entre nous tout le temps
Par ta chaleur rauque et ta sueur
C'est tout ton courage à me dire
Puisque j'ai moins peur de me perdre
À quel point des fois je me réduis
Je t'aime quand tu élargis les rides de mes rêves endormis
Des millions de fois j'ai voulu
Courir vers toi et je n'y ai pas cru
Comme si l'orage d'une béquille
Pouvait offrir un amour plus sûr...
Dis-moi de quoi le cœur est fait
Mon cœur à moi entend le tien
Dans son langage où les horloges fabriquent des rythmes
Inconnus...
Qui ainsi nue me parlent à mi-mots :
Tu insinues que j'en ai trop
Des certitudes
Qui ne volent pas haut
J'ai mis des colliers à mon cou
Pour ne pas affronter les discours
Je me suis mise même à genoux
Jusqu'à m'empêcher d'être à vous
Je n'ai pas bien su entendre le bruit
Du monde qui frappait à ma vie
J'ai mis des colliers à mon cou
Pour ne pas grandir d'un seul coup
Pour arranger ceux qui m'aimaient
En me conservant leur petite
Deux seins si nus contre ta peau
Toi qui m'invite à parler bien haut
Si tu m'agites c"est tendrement
J'aime cette magie entre nous tout le temps
Par ta chaleur rauque et ta sueur
C'est tout ton courage à me dire
Puisque j'ai moins peur de me perdre
À quel point des fois je me réduis
Je t'aime quand tu élargis les rides de mes rêves endormis
Des millions de fois j'ai voulu
Courir vers toi et je n'y ai pas cru
Comme si l'orage d'une béquille
Pouvait offrir un amour plus sûr...
Dis-moi de quoi le cœur est fait
Mon cœur à moi entend le tien
Dans son langage où les horloges fabriquent des rythmes
Inconnus...