Je grille une cigarette
Je suis du bois d'allumette
Qui se consume et je présume
Que tout chemin se termine
Autant pour prince que vermine
La vie est ainsi faite
Or que tout est bête
Tout est vain et inutile
Lorsqu'épuisé, fatigué
Le corps n'est plus qu'un autre projectile
Propulsé depuis matin
Jusqu'au soir en bus, en train
Je sais qu'un coeur peut s'arrêter pour moins
Imparfait
Le monde est imparfait
Imparfait
Le vent est si tendre sur midi
Tu es septembre sur Paris
Je pense à toi, ça fait du bien
Toi dans ta ville et moi transsibérien
Qui t'aime et qui t'adore
Puis qui se hait d'aimer si fort
L'amour est comme je le redoutais
Imparfait
L'amour est imparfait
Imparfait
Imparfait
Le monde est imparfait
Imparfait
L'amour est imparfait
Imparfait
Le monde est imparfait
Imparfait
Je suis du bois d'allumette
Qui se consume et je présume
Que tout chemin se termine
Autant pour prince que vermine
La vie est ainsi faite
Or que tout est bête
Tout est vain et inutile
Lorsqu'épuisé, fatigué
Le corps n'est plus qu'un autre projectile
Propulsé depuis matin
Jusqu'au soir en bus, en train
Je sais qu'un coeur peut s'arrêter pour moins
Imparfait
Le monde est imparfait
Imparfait
Le vent est si tendre sur midi
Tu es septembre sur Paris
Je pense à toi, ça fait du bien
Toi dans ta ville et moi transsibérien
Qui t'aime et qui t'adore
Puis qui se hait d'aimer si fort
L'amour est comme je le redoutais
Imparfait
L'amour est imparfait
Imparfait
Imparfait
Le monde est imparfait
Imparfait
L'amour est imparfait
Imparfait
Le monde est imparfait
Imparfait