Autrement dit, le foyer est ruiné,
Et je lis entre tes lèvres qu'il n'y a plus de sursis,
Qu'une lourde peine.
A quoi l'on joue, et à quoi ça rime ?
Si chaque jour sur tes joues, coule le rimmel.
Si chaque nuit je manque à l'appel.
Je suis parti pour perdre encore quelques années,
A tout casser j'aurai gagné ton mépris.
Je suis parti pour perdre quelques années,
A tout casser j'aurai gagné ton mépris.
Avec rien dans les poches, je pari sur le carreaux,
Et le couche sur du noir, sûr la chance me fait défaut.
Des fausses joies, de faux espoirs.
Des fautes, des faux, je tombe.
Je racle les fonds de tiroirs et je tourne mes talons.
Je suis parti pour perdre encore quelques années,
A tout casser j'aurai gagné ton mépris.
Je suis parti pour perdre quelques années,
A tout casser j'aurai gagné ton mépris.
Et je n'ai plus la main.
Et je lis entre tes lèvres qu'il n'y a plus de sursis,
Qu'une lourde peine.
A quoi l'on joue, et à quoi ça rime ?
Si chaque jour sur tes joues, coule le rimmel.
Si chaque nuit je manque à l'appel.
Je suis parti pour perdre encore quelques années,
A tout casser j'aurai gagné ton mépris.
Je suis parti pour perdre quelques années,
A tout casser j'aurai gagné ton mépris.
Avec rien dans les poches, je pari sur le carreaux,
Et le couche sur du noir, sûr la chance me fait défaut.
Des fausses joies, de faux espoirs.
Des fautes, des faux, je tombe.
Je racle les fonds de tiroirs et je tourne mes talons.
Je suis parti pour perdre encore quelques années,
A tout casser j'aurai gagné ton mépris.
Je suis parti pour perdre quelques années,
A tout casser j'aurai gagné ton mépris.
Et je n'ai plus la main.