Il a ôté sa chemise
Jeté ses regrets dessus
Et ses deux pieds dans l'eau grise
Sont des poissons qui remuent
Ses mains se déplacent
Ouvrant la surface
Comme s'il rentrait chez lui
Ses souliers sur le rivage
Restent dans le paysage
Et si profonde est sa tristesse
Qu'il ne peut même pas pleurer
Le ciel se renverse
Où ses deux yeux cherchent
La trace d'un autre ciel
Je suis à toi
Je te suivrai
Où tu iras
Moi je serai
Il se prend lui-même dans ses bras
Dans l'eau qui le fait trembler
Les trains qui sont partis
Et que l'on à manqués
On ne les prendra plus jamais
Avant qu'on les oublie
Pour de bonnes raisons
De l'eau peut couler sous les ponts
L'eau est montée à ses hanches
La lune est lourde à porter
Poussant ses épaules blanches
Elle semble l'enfoncer
Dans un grand silence
Comme il fait je pense
Juste à l'entrée de l'enfer
Je ne sais pas
Ce qui va pas
Ce que tu as
Ce qui va pas
Un brouillard étrange et rose l'entoure
Et la nuit pénètre en lui
Les rêves qu'on a rêvés
En toute ingénuité
Finissent comme des fleurs dans la boue
Avant que toutes nos peurs
S'endorment au fond de nous
De l'eau peut couler sous les ponts
Son cœur partout lui résonne
Il veut encore avancer
Sa bouche encore s'époumone
Et le froid vient l'embrasser
Ce qui l'a fait vivre que la vie a tué
Tournoie dans une eau glacée
Je ne t'aime plus
J'suis plus à toi
Et que veux-tu
Allez, salut
Et dans le courant il disparaît
À sa fatigue cloué
Jeté ses regrets dessus
Et ses deux pieds dans l'eau grise
Sont des poissons qui remuent
Ses mains se déplacent
Ouvrant la surface
Comme s'il rentrait chez lui
Ses souliers sur le rivage
Restent dans le paysage
Et si profonde est sa tristesse
Qu'il ne peut même pas pleurer
Le ciel se renverse
Où ses deux yeux cherchent
La trace d'un autre ciel
Je suis à toi
Je te suivrai
Où tu iras
Moi je serai
Il se prend lui-même dans ses bras
Dans l'eau qui le fait trembler
Les trains qui sont partis
Et que l'on à manqués
On ne les prendra plus jamais
Avant qu'on les oublie
Pour de bonnes raisons
De l'eau peut couler sous les ponts
L'eau est montée à ses hanches
La lune est lourde à porter
Poussant ses épaules blanches
Elle semble l'enfoncer
Dans un grand silence
Comme il fait je pense
Juste à l'entrée de l'enfer
Je ne sais pas
Ce qui va pas
Ce que tu as
Ce qui va pas
Un brouillard étrange et rose l'entoure
Et la nuit pénètre en lui
Les rêves qu'on a rêvés
En toute ingénuité
Finissent comme des fleurs dans la boue
Avant que toutes nos peurs
S'endorment au fond de nous
De l'eau peut couler sous les ponts
Son cœur partout lui résonne
Il veut encore avancer
Sa bouche encore s'époumone
Et le froid vient l'embrasser
Ce qui l'a fait vivre que la vie a tué
Tournoie dans une eau glacée
Je ne t'aime plus
J'suis plus à toi
Et que veux-tu
Allez, salut
Et dans le courant il disparaît
À sa fatigue cloué