Des années déjà
que je ne me vois pas,
je ne sens plus rien,
plutôt
Mon corps n'abrite
rien de moi, petite,
rien ne m'accrédite,
plus trop
Sensation d'être grande au coeur de la démence
Mon coeur et mon corps ne savent plus trop
mmmm
Mes souvenirs sont d'un temps bien plus fleuront
D'un temps, d'un aplomb, plus haut
Tellement sûre, j'étais
Tellement sure, j'étais
de ma nature, de ma jeunesse
Tellement sure, j'aurais aimé que ça dure, que je reste
A l'âge adulte
où les autres exultent,
où je sens l'insulte,
de trop
Marre de mon visage...
Remarque je tourne la page,
tourne mon héritage,
en lambaux
Tellement sûre, j'étais
Tellement sure, j'étais
de ma nature, de ma jeunesse
Tellement sure, j'aurais aimé que ça dure, que je reste
oh non-non-non-non
Tellement sure, j'aurais aimé que ça dure, que je reste
oh non-non-non-non
Tellement sure, j'aurais aimé que ça dure, que je reste
que je ne me vois pas,
je ne sens plus rien,
plutôt
Mon corps n'abrite
rien de moi, petite,
rien ne m'accrédite,
plus trop
Sensation d'être grande au coeur de la démence
Mon coeur et mon corps ne savent plus trop
mmmm
Mes souvenirs sont d'un temps bien plus fleuront
D'un temps, d'un aplomb, plus haut
Tellement sûre, j'étais
Tellement sure, j'étais
de ma nature, de ma jeunesse
Tellement sure, j'aurais aimé que ça dure, que je reste
A l'âge adulte
où les autres exultent,
où je sens l'insulte,
de trop
Marre de mon visage...
Remarque je tourne la page,
tourne mon héritage,
en lambaux
Tellement sûre, j'étais
Tellement sure, j'étais
de ma nature, de ma jeunesse
Tellement sure, j'aurais aimé que ça dure, que je reste
oh non-non-non-non
Tellement sure, j'aurais aimé que ça dure, que je reste
oh non-non-non-non
Tellement sure, j'aurais aimé que ça dure, que je reste