Dans les souterrains de la ville qui résonne
Il y a des flammes qui dévisagent les pauvres fous égarés
Il y a des blocs d'acier et des litres d'hormones
Pour noyer dans le sang les histoires oubliées
Il y a des femmes qui crient et la mort qui les guète
et les drames et la peur
Et souvent sur les trottoirs où pourrissent les paillettes
On entend s'écraser des larmes et des clameurs
Il y a des gosses qui jouent sur les marches des fontaines
Au milieu des passants qui pressent le pas
Il y a des jeunes et des vieux qui prêchent la haine
A des gens convaincus qui ne les écoutent pas
Il y a de l'or et des yeux qui brillent devant les vitrines blindées
Emmène-moi au paradis des gens qui ont trop aimé
Viens ! crève-moi le cœur, crève-moi les yeux
Laisse mon bonheur couler jusqu'aux cieux
Et pour un empire je ne donnerais mon âme
Ni pour soupir ni pour une larme
Dans le bleu infini des tréfonds de mon être
Il y a des étoiles qui brillent comme des lampes de cristal
Et j'attrape tour à tour les voiles et les comètes
Me confondant peu à peu dans la nuit sidérale
J'ai trop joué à des jeux futiles qui n'ont plus de fin
J'ai versé trop de larmes et de vin dans des bouges mal famés
Mais j'ai trouvé la lumière un beau soir de septembre
En cherchant quelqu'un d'autre je me suis trouvé, moi
Et la force infinie que m'a donnée cette rencontre
Se déverse sur le monde à chacun de mes pas
La folie du passé et la douleur secrète et les drames et la peur
Sont devenus beauté, lumière, pureté et chaleur
Viens ! Embrasse mon cœur, embrasse mes yeux
Laisse mon bonheur couler jusqu'aux cieux
Et pour un empire je ne donnerais mon âme
Ni à un vampire ni à une femme
Crève moi le cœur, crève moi les yeux
Laisse mon bonheur couler jusqu'aux cieux
Et pour un empire je ne donnerais mon âme
Ni pour soupir, ni pour un sourire
Il y a des flammes qui dévisagent les pauvres fous égarés
Il y a des blocs d'acier et des litres d'hormones
Pour noyer dans le sang les histoires oubliées
Il y a des femmes qui crient et la mort qui les guète
et les drames et la peur
Et souvent sur les trottoirs où pourrissent les paillettes
On entend s'écraser des larmes et des clameurs
Il y a des gosses qui jouent sur les marches des fontaines
Au milieu des passants qui pressent le pas
Il y a des jeunes et des vieux qui prêchent la haine
A des gens convaincus qui ne les écoutent pas
Il y a de l'or et des yeux qui brillent devant les vitrines blindées
Emmène-moi au paradis des gens qui ont trop aimé
Viens ! crève-moi le cœur, crève-moi les yeux
Laisse mon bonheur couler jusqu'aux cieux
Et pour un empire je ne donnerais mon âme
Ni pour soupir ni pour une larme
Dans le bleu infini des tréfonds de mon être
Il y a des étoiles qui brillent comme des lampes de cristal
Et j'attrape tour à tour les voiles et les comètes
Me confondant peu à peu dans la nuit sidérale
J'ai trop joué à des jeux futiles qui n'ont plus de fin
J'ai versé trop de larmes et de vin dans des bouges mal famés
Mais j'ai trouvé la lumière un beau soir de septembre
En cherchant quelqu'un d'autre je me suis trouvé, moi
Et la force infinie que m'a donnée cette rencontre
Se déverse sur le monde à chacun de mes pas
La folie du passé et la douleur secrète et les drames et la peur
Sont devenus beauté, lumière, pureté et chaleur
Viens ! Embrasse mon cœur, embrasse mes yeux
Laisse mon bonheur couler jusqu'aux cieux
Et pour un empire je ne donnerais mon âme
Ni à un vampire ni à une femme
Crève moi le cœur, crève moi les yeux
Laisse mon bonheur couler jusqu'aux cieux
Et pour un empire je ne donnerais mon âme
Ni pour soupir, ni pour un sourire