Une femme se repose
Tout autour, toute sa vie,
Toutes ces choses,
Des visages sur la cheminée
Des fantômes qui prennent la pose.
Une femme se repose,
Dans ses yeux des mariages, des enterrements,
Toutes ces choses.
Tout n 'était pas si noir,
Rien n'était vraiment rose.
Les amis disparus
Les tables noires posées dans les rues,
Les enfants partis trop tôt
Toutes ces choses.
Une femme se repose
Une femme se repose
Et comme un robinet qui fuit
Sa mémoire se sauve.
Elle cherche son enfance
Sur un moulin à café Peugeot,
Dans l'odeur d'une rose.
Et du fond du mois d'août
Le soleil qui inonde,
Elle a perdu tout et tout le monde,
Elle a perdu tout et tout le monde.
Et du fond du mois d'août
Le soleil qui inonde,
Elle a perdu tout et tout le monde,
Elle a perdu tout et tout le monde.
Une femme se souvient
Des bals d'avant la guerre,
C'était quelque chose.
Où sont-ils tous partis,
où s'en vont les choses ?
Une femme tient dans sa main
Une lettre pleine de mots d'amour
Et toutes ces choses.
La lettre de son seul amour.
Une femme se repose.
Et du fond du mois d'août
Le soleil qui inonde,
Elle a perdu tout et tout le monde,
Elle a perdu tout et tout le monde.
Et du fond du mois d'août
Le soleil qui inonde,
Elle a perdu tout et tout le monde,
Elle a perdu tout et tout le monde.
Une femme se repose
Tout autour, toute sa vie,
Toutes ces choses,
Des visages sur la cheminée
Des fantômes qui prennent la pose.
Tout autour, toute sa vie,
Toutes ces choses,
Des visages sur la cheminée
Des fantômes qui prennent la pose.
Une femme se repose,
Dans ses yeux des mariages, des enterrements,
Toutes ces choses.
Tout n 'était pas si noir,
Rien n'était vraiment rose.
Les amis disparus
Les tables noires posées dans les rues,
Les enfants partis trop tôt
Toutes ces choses.
Une femme se repose
Une femme se repose
Et comme un robinet qui fuit
Sa mémoire se sauve.
Elle cherche son enfance
Sur un moulin à café Peugeot,
Dans l'odeur d'une rose.
Et du fond du mois d'août
Le soleil qui inonde,
Elle a perdu tout et tout le monde,
Elle a perdu tout et tout le monde.
Et du fond du mois d'août
Le soleil qui inonde,
Elle a perdu tout et tout le monde,
Elle a perdu tout et tout le monde.
Une femme se souvient
Des bals d'avant la guerre,
C'était quelque chose.
Où sont-ils tous partis,
où s'en vont les choses ?
Une femme tient dans sa main
Une lettre pleine de mots d'amour
Et toutes ces choses.
La lettre de son seul amour.
Une femme se repose.
Et du fond du mois d'août
Le soleil qui inonde,
Elle a perdu tout et tout le monde,
Elle a perdu tout et tout le monde.
Et du fond du mois d'août
Le soleil qui inonde,
Elle a perdu tout et tout le monde,
Elle a perdu tout et tout le monde.
Une femme se repose
Tout autour, toute sa vie,
Toutes ces choses,
Des visages sur la cheminée
Des fantômes qui prennent la pose.