J'écris mes chansons sur le coin d'un bar,
Sur les additions et sur vos mouchoirs.
Je suis mon tempo de chair et de sang,
Et sur votre corps j'ai des arguments.
On voit des visages. Vies dévisagées.
Combien de miroirs pour se consoler.
Dans les yeux des autres on se comprend mieux.
Mais un jour ou l'autre ça devient sérieux.
Le bar où je bois est plein de bas noirs,
D'alcool en fusion, d'amour, de hasard.
Tous les cas ici sont à étudier.
Le vôtre, Madame, est particulier
On voit des visages. Vies dévisagées.
Combien de miroirs pour se consoler.
Dans les yeux des autres on se comprend mieux.
Mais un jour ou l'autre ça devient sérieux.
Le bar où je bois est plein de surprises.
Vous, en tailleur noir, dans cette aube grise.
Visas des visages. Vies dévisagées.
Combien de miroirs pour se consoler.
Dans les yeux des autres on se comprend mieux.
Mais un jour ou l'autre ça devient sérieux.
Vous, dans cet endroit passablement louche,
Au milieu des filles, pas vraiment farouches.
Sur les additions et sur vos mouchoirs.
Je suis mon tempo de chair et de sang,
Et sur votre corps j'ai des arguments.
On voit des visages. Vies dévisagées.
Combien de miroirs pour se consoler.
Dans les yeux des autres on se comprend mieux.
Mais un jour ou l'autre ça devient sérieux.
Le bar où je bois est plein de bas noirs,
D'alcool en fusion, d'amour, de hasard.
Tous les cas ici sont à étudier.
Le vôtre, Madame, est particulier
On voit des visages. Vies dévisagées.
Combien de miroirs pour se consoler.
Dans les yeux des autres on se comprend mieux.
Mais un jour ou l'autre ça devient sérieux.
Le bar où je bois est plein de surprises.
Vous, en tailleur noir, dans cette aube grise.
Visas des visages. Vies dévisagées.
Combien de miroirs pour se consoler.
Dans les yeux des autres on se comprend mieux.
Mais un jour ou l'autre ça devient sérieux.
Vous, dans cet endroit passablement louche,
Au milieu des filles, pas vraiment farouches.