Faudra-t-il faire de longues prières,chanter des oraisons?
Passer les mers et toutes ces terres, pour trouver ta maison?
Faudra-t-il taire mes vaines colères,pour dire ton nom ?
Croiser le fer, harasser mes nerfs,pour baiser ton front
Souviens toi mes bras te serraient
Guette les, ces bras sans allier
Souviens toi comme ils t'enlaçaient
Remplis les de ce corps doré
Ils sont si clairs ces yeux qui se perdent, dans ton horizon
Ils sont fiers ces pas qui te cherchent, à perdre la raison
Dans mes artères coule une longue rivière me diras tu du fond
Me diras tu du fond
Dans ma luzerne se pose ta crinière
Des hordes, des talons, des galops de questions.
Souviens toi mes bras te serraient
Guette les, ces bras sans allier
Souviens toi comme ils t'enlaçaient
Remplis les de ce corps doré
Tombe les les ces lourds boucliers
Laisse les ces bras te serrer
Guette les ils sont tes alliers
Laisse les sans fin t'enlacer.
Passer les mers et toutes ces terres, pour trouver ta maison?
Faudra-t-il taire mes vaines colères,pour dire ton nom ?
Croiser le fer, harasser mes nerfs,pour baiser ton front
Souviens toi mes bras te serraient
Guette les, ces bras sans allier
Souviens toi comme ils t'enlaçaient
Remplis les de ce corps doré
Ils sont si clairs ces yeux qui se perdent, dans ton horizon
Ils sont fiers ces pas qui te cherchent, à perdre la raison
Dans mes artères coule une longue rivière me diras tu du fond
Me diras tu du fond
Dans ma luzerne se pose ta crinière
Des hordes, des talons, des galops de questions.
Souviens toi mes bras te serraient
Guette les, ces bras sans allier
Souviens toi comme ils t'enlaçaient
Remplis les de ce corps doré
Tombe les les ces lourds boucliers
Laisse les ces bras te serrer
Guette les ils sont tes alliers
Laisse les sans fin t'enlacer.