On se croyait forts, on se croyait tout permis,
Les autres avaient tort, ils n'avaient rien compris.
A nous voir faire la guerre, tout est garanti,
A ne pas laisser faire, quand il suffisait d'un oui.
Et maint'nant nous voilà, a**is dans le salon,
La télé nous épargne la conversation,
Et maint'nant nous voilà, a**is comme deux cons,
La vie qu'on voulait pas, on s'y plaît pour de bon.
On se croyait forts, on se sentait fiers,
Avec nos armures et nos peintures de guerre,
On avait peur de rien, on avait plutôt l'air
D'être des mercenaires de notre quotidien.
Et maint'nant nous voilà, a**is dans le salon,
La télé nous épargne la conversation,
Et maint'ant nous voilà, a**is comme deux cons,
La vie qu'on voulait pas, on s'y plaît pour de bon.
Et maint'nant nous voilà, a**is dans le salon,
La télé nous épargne la conversation,
Et maint'nant nous voilà, a**is comme deux cons,
La vie qu'on voulait pas, on s'y plaît pour de bon...
Les autres avaient tort, ils n'avaient rien compris.
A nous voir faire la guerre, tout est garanti,
A ne pas laisser faire, quand il suffisait d'un oui.
Et maint'nant nous voilà, a**is dans le salon,
La télé nous épargne la conversation,
Et maint'nant nous voilà, a**is comme deux cons,
La vie qu'on voulait pas, on s'y plaît pour de bon.
On se croyait forts, on se sentait fiers,
Avec nos armures et nos peintures de guerre,
On avait peur de rien, on avait plutôt l'air
D'être des mercenaires de notre quotidien.
Et maint'nant nous voilà, a**is dans le salon,
La télé nous épargne la conversation,
Et maint'ant nous voilà, a**is comme deux cons,
La vie qu'on voulait pas, on s'y plaît pour de bon.
Et maint'nant nous voilà, a**is dans le salon,
La télé nous épargne la conversation,
Et maint'nant nous voilà, a**is comme deux cons,
La vie qu'on voulait pas, on s'y plaît pour de bon...