Ce n'est que le chant d'un marin qui, le soir,
Le fredonnait à son bord,
En quittant le port.
Ce n'est qu'un refrain qu'il chantait plein d'espoir
Souvenir des doux aveux
Murmurés à deux.
(Refrain)
Si l'on ne s'était pas connu,
Jamais mon coeur, jamais mes lèvres,
Non jamais, n'auraient retenu
Le souvenir de nos heures de fièvre.
Je n'aurais pas, lorsque je pars,
Besoin de revoir ton regard,
Je n'aurais pas, quand je te vois,
Ce petit tremblement d'émoi.
L'amour ne serait pas venu
Si l'on ne s'était pas connu.
Quand le flot méchant fait craindre le danger,
Le marin riant du vent,
Seul chante à l'avant
Son coeur le lui dit, il ne peut naufrager
Il chante les jours défunts
Malgré les embruns.
(au Refrain)
Mais celle pour qui le marin chante ainsi
A bien d'autres matelots
Voguant sur les flots.
Qu'importe ! Chacun se croit seul et, ravi,
Trouvant l'exil bien moins long,
Chante au moussaillon
Le fredonnait à son bord,
En quittant le port.
Ce n'est qu'un refrain qu'il chantait plein d'espoir
Souvenir des doux aveux
Murmurés à deux.
(Refrain)
Si l'on ne s'était pas connu,
Jamais mon coeur, jamais mes lèvres,
Non jamais, n'auraient retenu
Le souvenir de nos heures de fièvre.
Je n'aurais pas, lorsque je pars,
Besoin de revoir ton regard,
Je n'aurais pas, quand je te vois,
Ce petit tremblement d'émoi.
L'amour ne serait pas venu
Si l'on ne s'était pas connu.
Quand le flot méchant fait craindre le danger,
Le marin riant du vent,
Seul chante à l'avant
Son coeur le lui dit, il ne peut naufrager
Il chante les jours défunts
Malgré les embruns.
(au Refrain)
Mais celle pour qui le marin chante ainsi
A bien d'autres matelots
Voguant sur les flots.
Qu'importe ! Chacun se croit seul et, ravi,
Trouvant l'exil bien moins long,
Chante au moussaillon