T'auras beau faire de ton mieux, t'mettre en quatre pour me plaire
T'intéresseras qu'un oeil sur deux.
T'auras beau dire :« j't'offre que le meilleur pas le pire »
J'n'y vois que de la poudre aux yeux.
T'as l'oeil rêveur, l'sourire charmeur, un poème à la place du coeur
Pis t'as du c***n, t'es un mec bien.
T'as l'mot facile, le vers subtil, une répartie qui entortille,
Mais ce n'est que du barra tin.
Désolée non, pas pour moi, nul homme ne m'ennulisera
Dès lors, désolée non, passe le pas, car je ne l'embrayerai pas
Jamais plus personne ne me sonne en claquant des doigts.
Y en a qui rêvent toute leur vie, qui pardonnent qui oublient
Qui s'abandonnent, pis qui se cognent.
Celles qui préfèrent laisser faire, fermer les yeux, se taire,
Pour ne pas mettre leur mec en rogne.
Y en a qui croient au grand amour, au beau, au vrai qui dure toujours,
Mais ce ne sont que des illusions,
Car malgré quelques mots trop courts, derrière un regard de velours,
Ils croient porter le pantalon.
Désolée non, pas pour moi, nul homme ne m'ennulisera
Dès lors, désolée non, passe le pas, car je ne l'embrayerai pas
Jamais plus personne ne me sonne en claquant des doigts.
Enfin j'dis pas qu'le célibat est la solution à tout débat,
Ni que dort un loup en chaque homme.
Mais garder les yeux bien ouverts, préserver ses arrières
Ne peut faire de mal à personne.
Comment font-elles pour faire confiance, s'laisser abuser sans méfiance,
Pour croire « je t'aime », quand c'est « je te mène »,
Elles croient « t'es belle et pleine d'esprit », et en oublient les stratégies,
Ils pensent « t'es bonne, même si t'es ... »
Faut pas déconner... non,
Pas pour moi, nul homme ne m'ennulisera
Dès lors, désolée non, passe le pas, car je ne l'embrayerai pas
Jamais plus personne ne me sonne en claquant des doigts.
T'intéresseras qu'un oeil sur deux.
T'auras beau dire :« j't'offre que le meilleur pas le pire »
J'n'y vois que de la poudre aux yeux.
T'as l'oeil rêveur, l'sourire charmeur, un poème à la place du coeur
Pis t'as du c***n, t'es un mec bien.
T'as l'mot facile, le vers subtil, une répartie qui entortille,
Mais ce n'est que du barra tin.
Désolée non, pas pour moi, nul homme ne m'ennulisera
Dès lors, désolée non, passe le pas, car je ne l'embrayerai pas
Jamais plus personne ne me sonne en claquant des doigts.
Y en a qui rêvent toute leur vie, qui pardonnent qui oublient
Qui s'abandonnent, pis qui se cognent.
Celles qui préfèrent laisser faire, fermer les yeux, se taire,
Pour ne pas mettre leur mec en rogne.
Y en a qui croient au grand amour, au beau, au vrai qui dure toujours,
Mais ce ne sont que des illusions,
Car malgré quelques mots trop courts, derrière un regard de velours,
Ils croient porter le pantalon.
Désolée non, pas pour moi, nul homme ne m'ennulisera
Dès lors, désolée non, passe le pas, car je ne l'embrayerai pas
Jamais plus personne ne me sonne en claquant des doigts.
Enfin j'dis pas qu'le célibat est la solution à tout débat,
Ni que dort un loup en chaque homme.
Mais garder les yeux bien ouverts, préserver ses arrières
Ne peut faire de mal à personne.
Comment font-elles pour faire confiance, s'laisser abuser sans méfiance,
Pour croire « je t'aime », quand c'est « je te mène »,
Elles croient « t'es belle et pleine d'esprit », et en oublient les stratégies,
Ils pensent « t'es bonne, même si t'es ... »
Faut pas déconner... non,
Pas pour moi, nul homme ne m'ennulisera
Dès lors, désolée non, passe le pas, car je ne l'embrayerai pas
Jamais plus personne ne me sonne en claquant des doigts.