Comme un p' t** garde fou, comme un air familier,
Comme une aiguille qui reste cachée
Dans le fond de ma tête, je l'en croyais chassée..
Mais elle demeure prête à surgir et piquer,
Si à une amourette j'ose m'abandonner.
Tu t'insinues, tu guettes chacune de mes pensées,
Plus j'avance et plus tu me fais tomber
Comme une marionnette, mais du mauvais coté..
Quand je veux être sûre, pour me faire douter,
Tu ravives les blessures condamnant mon essai.
Dis que tu le trouves pas comme les autres..
Dis-moi qu'il t'inspire, dis-moi qu'il t'impressionne et pire,
Dis qu'tu pourrais boire à la nôtre,
Mais tu m' piques et tu m' paniques.., ma moitié parano-ik...
Est-ce que le jour viendra où tu capituleras
Ou me résigneras à marcher sur tes pas...
Tu es moi, mais tu es mon entière opposée,
Mon complément, mon auto - croche-pied.
Si je pense « excitant », tu réponds « compliqué »,
Je suggère « attachant », tu me dis « domestiquée »,
Si j'ose penser « troublant », tu fais clignoter « Danger »...
Je subis l'insistance du mal de tes rancoeurs,
Je te connais par coeur, mais tu m' fais peur.
Si mon estomac tremble, si mon esprit se tord,
C'est quand j' pense que tu puisses avoir raison encore..
J' veux qu' cette seconde glisse, je vais rêver plus fort.
Dis que tu le trouves pas comme les autres..
Dis-moi qu'il t'inspire, dis-moi qu'il t'impressionne et pire...
Dis qu'tu pourrais boire à la nôtre,
Mais tu m' piques et tu m' paniques.., ma moitié parano-ik.
Est-ce que le jour viendra où tu capituleras
Ou me résigneras à marcher sur tes pas...
Née d' la poussière des ruines de mes erreurs passées,
Tu t'incrustes et tu mines mon entité.
Tu te dis ma conscience ou bien mon bouclier,
Mais tu brûles mon essence et m'empêches de m'embraser
En souillant l'innocence des mots de mon aimé.
Dis que tu le trouves pas comme les autres,
Dis-moi qu'il t'inspire, dis-moi qu'il t'impressionne et pire,
Qu'tu pourrais boire à la nôtre,
Mais tu m' piques et tu m' paniques.., ma moitié parano-ik...
Comme une aiguille qui reste cachée
Dans le fond de ma tête, je l'en croyais chassée..
Mais elle demeure prête à surgir et piquer,
Si à une amourette j'ose m'abandonner.
Tu t'insinues, tu guettes chacune de mes pensées,
Plus j'avance et plus tu me fais tomber
Comme une marionnette, mais du mauvais coté..
Quand je veux être sûre, pour me faire douter,
Tu ravives les blessures condamnant mon essai.
Dis que tu le trouves pas comme les autres..
Dis-moi qu'il t'inspire, dis-moi qu'il t'impressionne et pire,
Dis qu'tu pourrais boire à la nôtre,
Mais tu m' piques et tu m' paniques.., ma moitié parano-ik...
Est-ce que le jour viendra où tu capituleras
Ou me résigneras à marcher sur tes pas...
Tu es moi, mais tu es mon entière opposée,
Mon complément, mon auto - croche-pied.
Si je pense « excitant », tu réponds « compliqué »,
Je suggère « attachant », tu me dis « domestiquée »,
Si j'ose penser « troublant », tu fais clignoter « Danger »...
Je subis l'insistance du mal de tes rancoeurs,
Je te connais par coeur, mais tu m' fais peur.
Si mon estomac tremble, si mon esprit se tord,
C'est quand j' pense que tu puisses avoir raison encore..
J' veux qu' cette seconde glisse, je vais rêver plus fort.
Dis que tu le trouves pas comme les autres..
Dis-moi qu'il t'inspire, dis-moi qu'il t'impressionne et pire...
Dis qu'tu pourrais boire à la nôtre,
Mais tu m' piques et tu m' paniques.., ma moitié parano-ik.
Est-ce que le jour viendra où tu capituleras
Ou me résigneras à marcher sur tes pas...
Née d' la poussière des ruines de mes erreurs passées,
Tu t'incrustes et tu mines mon entité.
Tu te dis ma conscience ou bien mon bouclier,
Mais tu brûles mon essence et m'empêches de m'embraser
En souillant l'innocence des mots de mon aimé.
Dis que tu le trouves pas comme les autres,
Dis-moi qu'il t'inspire, dis-moi qu'il t'impressionne et pire,
Qu'tu pourrais boire à la nôtre,
Mais tu m' piques et tu m' paniques.., ma moitié parano-ik...