Lâchée au coeur de Panam, j' déambule dans l'arène
Je m'aventure sur les traces de la jungle moderne.
De Bastille à Notre Dame, loin d' mon nid d'Aquitaine
Je me poste entre deux quais, j' prends le temps d' m'envoler...
Juste fermer les yeux et sentir sur ma peau le même soleil
Qui brille sur ce pays où mon coeur sommeille
Et rêver de ses parfums, du goût salé de l'éc**e sur mes lèvres
Voir plus loin que le bout d' la Terre.
Je trace de cabarets en théâtres, j' croise des Berlioz, des Mourad,
Quand la chanson me porte, j' cherche un air familier
Dans une maison de notes, en mal d'amitié.
Je r'pense aux potes, aux vieilles histoires,
Je m'accoude et commande à boire quand.. « toc toc toc...
Mesdames et Messieurs, s'il vous plaît, on va commencer »...
Juste fermer les yeux,
L'instant d'après se r' trouver au fond d'un vieux café
Ensembles attablés autour du verre de l'amitié,
R' bondir d'histoires en délires, d' « à ta santé »,
Doublés d'éclats de rires..
La nuit s'installe sur ma couche, je rentre et pas une mouche
Ne vient briser le silence de leur absence..
J' traverse les deux pièces vides de mon meublé
Avec mon sac et mes clés
Qu'on était bien à quatre dans un vingt mètres carrés..
Juste fermer les yeux,
R' charger mes tripes de l'amour de mes trois piliers
Parents bien aimés et la belle brune à mes cotés
Même aux quatre coins de France,
Brûle toujours le bonheur de mon enfance,
Alors j'avance, et je rerentre dans la danse,
Alors je ferme les yeux et je sens sur ma peau le même soleil
Qui brille sur ce pays où mon coeur sommeille,
Lâchée au coeur de Panam,
J' peux jouer Esméralda à Notre Dame....
Juste fermer les yeux...
Je m'aventure sur les traces de la jungle moderne.
De Bastille à Notre Dame, loin d' mon nid d'Aquitaine
Je me poste entre deux quais, j' prends le temps d' m'envoler...
Juste fermer les yeux et sentir sur ma peau le même soleil
Qui brille sur ce pays où mon coeur sommeille
Et rêver de ses parfums, du goût salé de l'éc**e sur mes lèvres
Voir plus loin que le bout d' la Terre.
Je trace de cabarets en théâtres, j' croise des Berlioz, des Mourad,
Quand la chanson me porte, j' cherche un air familier
Dans une maison de notes, en mal d'amitié.
Je r'pense aux potes, aux vieilles histoires,
Je m'accoude et commande à boire quand.. « toc toc toc...
Mesdames et Messieurs, s'il vous plaît, on va commencer »...
Juste fermer les yeux,
L'instant d'après se r' trouver au fond d'un vieux café
Ensembles attablés autour du verre de l'amitié,
R' bondir d'histoires en délires, d' « à ta santé »,
Doublés d'éclats de rires..
La nuit s'installe sur ma couche, je rentre et pas une mouche
Ne vient briser le silence de leur absence..
J' traverse les deux pièces vides de mon meublé
Avec mon sac et mes clés
Qu'on était bien à quatre dans un vingt mètres carrés..
Juste fermer les yeux,
R' charger mes tripes de l'amour de mes trois piliers
Parents bien aimés et la belle brune à mes cotés
Même aux quatre coins de France,
Brûle toujours le bonheur de mon enfance,
Alors j'avance, et je rerentre dans la danse,
Alors je ferme les yeux et je sens sur ma peau le même soleil
Qui brille sur ce pays où mon coeur sommeille,
Lâchée au coeur de Panam,
J' peux jouer Esméralda à Notre Dame....
Juste fermer les yeux...