Rien ne presse,sur les fesses,
De la Vénus de Milo
Plus un geste, c'est la sieste
Des oiseaux.
Rien ne reste, sur nos vestes,
Se renverse le sirop.
Sans adresse, nos réflexes sonnent faux.
Ceux qui marchaient debout,
N'avaient pas peur de tout,
Même des désillusions, l'appel de l'horizon.
Mais le monde a changé, on a tout découpé
C'est pas gagné, gagné, tu sais.
Plus rien ne bouge et ça nous fait de l'ombre.
Un peu partout la peste brûle, gronde.
Rien ne presse, sur les fesses,
De la Vénus de Milo.
Plus un geste, c'est la sieste
Des oiseaux.
Rien ne reste, sur nos vestes,
Se renverse le sirop.
Sans adresse, nos réflexes sonnent faux.
Tu cherches un peu la guerre,
Tu ne la trouves pas toujours
C'est pas rigolo,
Les trous dans ton cerveau.
Ils te font un peu mal
Parfois même ils te parlent.
Quelle est la solution, la prochaine émission.
Nos maisons brûlent et ça nous fait de l'ombre.
De savoir qu'un jour ils nous fumeront.
Nos rêves brûlent et ça nous fait de la peine,
De savoir qu'un jour ils nous quitteront.
Rien ne presse, sur les fesses
De la Vénus de Milo
Plus un geste, c'est la sieste,
Des oiseaux.
Rien ne reste, sur nos vestes,
Se renverse le sirop.
Sans adresse, nos réflexes sonnent faux.
De la Vénus de Milo
Plus un geste, c'est la sieste
Des oiseaux.
Rien ne reste, sur nos vestes,
Se renverse le sirop.
Sans adresse, nos réflexes sonnent faux.
Ceux qui marchaient debout,
N'avaient pas peur de tout,
Même des désillusions, l'appel de l'horizon.
Mais le monde a changé, on a tout découpé
C'est pas gagné, gagné, tu sais.
Plus rien ne bouge et ça nous fait de l'ombre.
Un peu partout la peste brûle, gronde.
Rien ne presse, sur les fesses,
De la Vénus de Milo.
Plus un geste, c'est la sieste
Des oiseaux.
Rien ne reste, sur nos vestes,
Se renverse le sirop.
Sans adresse, nos réflexes sonnent faux.
Tu cherches un peu la guerre,
Tu ne la trouves pas toujours
C'est pas rigolo,
Les trous dans ton cerveau.
Ils te font un peu mal
Parfois même ils te parlent.
Quelle est la solution, la prochaine émission.
Nos maisons brûlent et ça nous fait de l'ombre.
De savoir qu'un jour ils nous fumeront.
Nos rêves brûlent et ça nous fait de la peine,
De savoir qu'un jour ils nous quitteront.
Rien ne presse, sur les fesses
De la Vénus de Milo
Plus un geste, c'est la sieste,
Des oiseaux.
Rien ne reste, sur nos vestes,
Se renverse le sirop.
Sans adresse, nos réflexes sonnent faux.