Kono unmei ni wa sakaraenai
Konmei suru nou ga kishimu
Ten to jikan ni wa temukaenai
Moujuu suru ryoute no
Ito ga shime tsukeru
Nu wareta me wo
Akete
Mienai kabe wo kowashite !
Kikai no shikou de mo
Yume wo mushibamu
Kuroi kako kowai mirai
Ima wo shibaru kotoba wo hansuu suru riyuu
Genkai wo shiru no wa
Kuroi torikago no naka
Haku koe
Kesarete mo
Mienai mono wo shinjite !
Furueru ude de mo
Mamori nukitai
Itoshii dareka wo
Ima wo susumu omoi no tadoritsuku bashou
Kibou wo miru no wa
Kuroi semai sekai demo
Nijimu mazenda no
Hitomi wo akete
traduction française
Je ne peux m'opposer à ce destin
Dans ma tête je sens la confusion grincer
Je ne peux tenir tête à Dieu et au Temps
Mes deux mains ne font qu'obéir aveuglement
Au fil qui les attaches et qui les lies
J'ouvre ces yeux brisés que l'on avait cousus
Détruis ces murs que tu ne vois pas
Même avec des pensées mécaniques
Ils rongent tes rêves
Ce sombre passé et ce futur effrayant
Te font ruminer tes mots en les attachants au présent
Tu connaîtras tes limites
Au creux de la volière noire
Les voix expirées
Peuvent aussi disparaître
Crois en ces choses que tu ne vois pas
Même avec des bras qui tremblent
Tu veux arrachés et protéger
Quelqu'un qui t'est précieux
L'endroit où finiront par atteindre tes sentiments est le présent
Tu entreverras cet espoir
Même au travers d'un monde sombre et étroit
J'ouvre ces yeux rouge violacé qui bavent
Konmei suru nou ga kishimu
Ten to jikan ni wa temukaenai
Moujuu suru ryoute no
Ito ga shime tsukeru
Nu wareta me wo
Akete
Mienai kabe wo kowashite !
Kikai no shikou de mo
Yume wo mushibamu
Kuroi kako kowai mirai
Ima wo shibaru kotoba wo hansuu suru riyuu
Genkai wo shiru no wa
Kuroi torikago no naka
Haku koe
Kesarete mo
Mienai mono wo shinjite !
Furueru ude de mo
Mamori nukitai
Itoshii dareka wo
Ima wo susumu omoi no tadoritsuku bashou
Kibou wo miru no wa
Kuroi semai sekai demo
Nijimu mazenda no
Hitomi wo akete
traduction française
Je ne peux m'opposer à ce destin
Dans ma tête je sens la confusion grincer
Je ne peux tenir tête à Dieu et au Temps
Mes deux mains ne font qu'obéir aveuglement
Au fil qui les attaches et qui les lies
J'ouvre ces yeux brisés que l'on avait cousus
Détruis ces murs que tu ne vois pas
Même avec des pensées mécaniques
Ils rongent tes rêves
Ce sombre passé et ce futur effrayant
Te font ruminer tes mots en les attachants au présent
Tu connaîtras tes limites
Au creux de la volière noire
Les voix expirées
Peuvent aussi disparaître
Crois en ces choses que tu ne vois pas
Même avec des bras qui tremblent
Tu veux arrachés et protéger
Quelqu'un qui t'est précieux
L'endroit où finiront par atteindre tes sentiments est le présent
Tu entreverras cet espoir
Même au travers d'un monde sombre et étroit
J'ouvre ces yeux rouge violacé qui bavent