Sur le clavier du grand piano
Paroles: Yves Duteil. Musique: Yves Duteil, Véronique Sanson 2008 "(Fr)agiles"
© Editions de l'Ecritoire
note: dédiée "à Véro"
Dans le silence de la nuit
Je vois se dérouler ta vie
Sur un vieux film en noir et blanc
Avec tes sœurs et tes parents
Dans ce bonheur en harmonie
Leurs voix te parlent sans un bruit
Sur ces images un peu fragiles
Du temps où tout semblait facile
À quel instant le film se casse, ici
Alors que tout semblait écrit ?
Vers quels tumultes et quelles frayeurs, depuis
Aura pu t'entraîner la vie ?
À toujours fuir
Là où l'amour t'attire
Toujours partir
Vers le meilleur du pire
Tu veux t'enfuir
Là où l'amour t'aspire
Ouvrir tes ailes
Où le désir t'appelle
Sur le clavier du grand piano
Une musique et quelques mots
Ont dessiné ta vie entière
Avec ses ombres et ses lumières
De tes amours inachevées
Tu fais des images enchantées
Qui nous emportent avec douceur
Dans la violence et dans la peur
À quel endroit est-ce que tout casse un jour
Quand tu voudrais parler d'amour ?
Et peu importe de brûler ta vie
Comme un enfant au paradis
Tu dois partir
Là où le feu t'attire
Tu dois t'enfuir
Et ne plus revenir
Toujours partir
Là où l'amour t'aspire
Quitte à souffrir
Tu dois toujours t'enfuir
Entre les rires et les sanglots
Là où ton cœur cherche ses mots
Il reste tant d'amour à dire
Et de musique à nous offrir
Tu nous as fait voler si haut
En déposant sur ton tempo
Des oasis en plein désert
Et des printemps pour tout l'hiver
Dans le silence de la nuit
Je vois se dérouler ta vie
Enrubannée comme un cadeau
Sur le clavier du grand piano
Paroles: Yves Duteil. Musique: Yves Duteil, Véronique Sanson 2008 "(Fr)agiles"
© Editions de l'Ecritoire
note: dédiée "à Véro"
Dans le silence de la nuit
Je vois se dérouler ta vie
Sur un vieux film en noir et blanc
Avec tes sœurs et tes parents
Dans ce bonheur en harmonie
Leurs voix te parlent sans un bruit
Sur ces images un peu fragiles
Du temps où tout semblait facile
À quel instant le film se casse, ici
Alors que tout semblait écrit ?
Vers quels tumultes et quelles frayeurs, depuis
Aura pu t'entraîner la vie ?
À toujours fuir
Là où l'amour t'attire
Toujours partir
Vers le meilleur du pire
Tu veux t'enfuir
Là où l'amour t'aspire
Ouvrir tes ailes
Où le désir t'appelle
Sur le clavier du grand piano
Une musique et quelques mots
Ont dessiné ta vie entière
Avec ses ombres et ses lumières
De tes amours inachevées
Tu fais des images enchantées
Qui nous emportent avec douceur
Dans la violence et dans la peur
À quel endroit est-ce que tout casse un jour
Quand tu voudrais parler d'amour ?
Et peu importe de brûler ta vie
Comme un enfant au paradis
Tu dois partir
Là où le feu t'attire
Tu dois t'enfuir
Et ne plus revenir
Toujours partir
Là où l'amour t'aspire
Quitte à souffrir
Tu dois toujours t'enfuir
Entre les rires et les sanglots
Là où ton cœur cherche ses mots
Il reste tant d'amour à dire
Et de musique à nous offrir
Tu nous as fait voler si haut
En déposant sur ton tempo
Des oasis en plein désert
Et des printemps pour tout l'hiver
Dans le silence de la nuit
Je vois se dérouler ta vie
Enrubannée comme un cadeau
Sur le clavier du grand piano