Jamais je n'ai cru en les larmes
Jamais je n'ai choyé la peine de l'existence
Jamais la souffrance ne m'a fait pardonner
Ni la servitude regretter
La puissance laquelle j'aspirais n'était qu'illusoire,
La lutte contre le cycle est vaine
Jamais l'esclave ne comblera l'abysse et
Jamais l'être ne s'affranchira du pardon
En l'honneur, j'ai souffert d'un existence vouée aux regrets
En l'honneur je sais que je fus
Mais l'indicible peine de voir mon sang perdu
Dans le flot pathétique des larmes
Jamais je n'ai choyé la peine de l'existence
Jamais la souffrance ne m'a fait pardonner
Ni la servitude regretter
La puissance laquelle j'aspirais n'était qu'illusoire,
La lutte contre le cycle est vaine
Jamais l'esclave ne comblera l'abysse et
Jamais l'être ne s'affranchira du pardon
En l'honneur, j'ai souffert d'un existence vouée aux regrets
En l'honneur je sais que je fus
Mais l'indicible peine de voir mon sang perdu
Dans le flot pathétique des larmes