J'avais imaginé
Qu'une allée suffirait
Pour te rencontrer.
Une allée ça suffit,
On laiss'rait sous la pluie
S'emmêler nos parapluies.
Sait-on jamais ?
Une allée c'est étroit,
L'hiver il y fait froid,
Et il n'y passe jamais personne.
Pourtant chaque pas résonne.
Il n'y a que les aventuriers
Qui osent l'emprunter.
Sait-on jamais ? Sait-on jamais ?
Alors nous serions de ceux-là,
De ceux qui bravent le froid.
Quand on n'a plus personne,
On s'a**ure que le coeur raisonne.
Il n'y a que les chercheurs d'or,
Pour espérer encore.
Sait-on jamais ? Sait-on jamais ?
Sait-on jamais ? Sait-on jamais ?
Et je fais le pari:
Une allée ça suffit.
Pas besoin de trottoir,
D'av'nue, de boul'vard.
N'as-tu jamais songé
Qu'on pourrait s'y manquer ?
Sait-on jamais ? Sait-on jamais ?
Qu'une allée suffirait
Pour te rencontrer.
Une allée ça suffit,
On laiss'rait sous la pluie
S'emmêler nos parapluies.
Sait-on jamais ?
Une allée c'est étroit,
L'hiver il y fait froid,
Et il n'y passe jamais personne.
Pourtant chaque pas résonne.
Il n'y a que les aventuriers
Qui osent l'emprunter.
Sait-on jamais ? Sait-on jamais ?
Alors nous serions de ceux-là,
De ceux qui bravent le froid.
Quand on n'a plus personne,
On s'a**ure que le coeur raisonne.
Il n'y a que les chercheurs d'or,
Pour espérer encore.
Sait-on jamais ? Sait-on jamais ?
Sait-on jamais ? Sait-on jamais ?
Et je fais le pari:
Une allée ça suffit.
Pas besoin de trottoir,
D'av'nue, de boul'vard.
N'as-tu jamais songé
Qu'on pourrait s'y manquer ?
Sait-on jamais ? Sait-on jamais ?