La musique adoucit
La distance qui nous lie,
Tes abscences et mes oublis.
Difficile de s'aimer
Dans l'irréalité,
L'intervalle d'une pensée
Nostalgique.
Le temps me désespère.
Toutes ces promesses en l'air.
Ces façons de nous faire languir en douce,
D'empêcher que le vent nous pousse
L'un vers l'autre,
L'un pour l'autre.
La musique adoucit
Les beaux jours qui nous fuient,
La violence des non-dits.
Difficile d'aiguiser
Les fous-rires déguisés
De vieux blues alcoolisés,
Oniriques.
La solitude enserre
Et c'est là qu'on se perd.
Le cœur bat pour insatisfaire
Les habitudes, les mouvements de la mer.
La musique adoucit
La distance qui nous lie,
L'impatience, l'alchimie
Qui nous panse,
Nous tient en vie.
Le cœur bat pour insatisfaire
Les habitudes, les mouvements de la mer.
La musique adoucit
La distance qui nous lie,
L'impatience, l'alchimie
Qui nous panse,
Nous tient en vie...
La musique adoucit.
La distance qui nous lie,
Tes abscences et mes oublis.
Difficile de s'aimer
Dans l'irréalité,
L'intervalle d'une pensée
Nostalgique.
Le temps me désespère.
Toutes ces promesses en l'air.
Ces façons de nous faire languir en douce,
D'empêcher que le vent nous pousse
L'un vers l'autre,
L'un pour l'autre.
La musique adoucit
Les beaux jours qui nous fuient,
La violence des non-dits.
Difficile d'aiguiser
Les fous-rires déguisés
De vieux blues alcoolisés,
Oniriques.
La solitude enserre
Et c'est là qu'on se perd.
Le cœur bat pour insatisfaire
Les habitudes, les mouvements de la mer.
La musique adoucit
La distance qui nous lie,
L'impatience, l'alchimie
Qui nous panse,
Nous tient en vie.
Le cœur bat pour insatisfaire
Les habitudes, les mouvements de la mer.
La musique adoucit
La distance qui nous lie,
L'impatience, l'alchimie
Qui nous panse,
Nous tient en vie...
La musique adoucit.