Les portes s'ouvrent, tu bondis sans entrain
Tu quittes à regret le cocon du train
Les yeux encore éteints
De ceux qui se lèvent tôt le matin
De ceux qui se lèvent tôt le matin
Cher à un travail, esclave des temps nouveaux
Aux rythmes incessant des premiers métros
Réveil sans douceur
Pour ceux qui se lèvent tôt le matin
Pour ceux qui se lèvent tôt le matin
Ils croisent ceux qui se couchent tard la nuit
Oiseaux nocturnes, qui retrouvent leurs nids
Epaves sur le chemin
De ceux qui se lèvent tôt le matin
De leur sommeil, ils gardent le souvenir
De rêves fous, d'aventures, de désirs
Mais où sont les images de leur enfance
Où l'avenir sentait l'aventure et l'errance
Cette errance palpitante d'un univers nouveau
Qui s'effrite, tous les jours, noyée dans le troupeau
Hier, comme demain, ceux qui se lèvent tôt le matin
Ceux qui se lèvent tôt le matin
Ceux qui se lèvent tôt le matin
Ceux qui se lèvent tôt le matin
Tu quittes à regret le cocon du train
Les yeux encore éteints
De ceux qui se lèvent tôt le matin
De ceux qui se lèvent tôt le matin
Cher à un travail, esclave des temps nouveaux
Aux rythmes incessant des premiers métros
Réveil sans douceur
Pour ceux qui se lèvent tôt le matin
Pour ceux qui se lèvent tôt le matin
Ils croisent ceux qui se couchent tard la nuit
Oiseaux nocturnes, qui retrouvent leurs nids
Epaves sur le chemin
De ceux qui se lèvent tôt le matin
De leur sommeil, ils gardent le souvenir
De rêves fous, d'aventures, de désirs
Mais où sont les images de leur enfance
Où l'avenir sentait l'aventure et l'errance
Cette errance palpitante d'un univers nouveau
Qui s'effrite, tous les jours, noyée dans le troupeau
Hier, comme demain, ceux qui se lèvent tôt le matin
Ceux qui se lèvent tôt le matin
Ceux qui se lèvent tôt le matin
Ceux qui se lèvent tôt le matin