Des vallées des terres de l'Ouest
Surgirent les chattes d'éther,
De l'Ouest elles s'échappèrent.
Elles vinrent à moi, corps célestes
Joignant mes nocturnes pubères
Au gré des vents stellaires...
« L'ardente et grandiose lubie,
Ralliant mes frères et ces Dames
à ma suintante hystérie,
Devait s'opérer par les flammes !
Tel un faisceau, sommes unis
Pour p***oncer l'ultime blâme...
Mais, de la jeunesse enhardie,
Au loin, se pointe l'oriflamme ! »
Alors que les fourmis séparent
Les vieillards rôtis en lambeaux,
Les feux désormais se déclarent
Dans la pupille des jeunots.
Curieux écho de la victoire
Sur ce croustillant tapis chaud !
« Ma milicieuse Malice,
Cette cyclique violence,
Musicalement manigance
Une campagne épuratrice :
L'ouverture au rythme propice
à l'accouplement en cadence. »
Aux sévères tambours s'entrechoquent les corps,
S'éclaboussant d'amour dans l'effort.
Moites peaux de velours, luxuriantes flores
Détrempées que je bourre aux aurores.
Ce voile licencieux tombant sur le credo ;
Puritains de Dieu, craignez notre commando !
Face aux bigotes dégainons les braquemarts,
D'un éclat de rire et de fluides Communards !
Que l'aigle ivrogne surplombe l'Hôtel des vils
Prophètes de la Commune des Chants d'Nihil !
L'empire de la vertu périclite au risque
D'émoustiller un peu trop - mais jamais a**ez -
La foule, raide au matin, toute retournée,
Et beuglant à l'unisson : « Prends-moi fort, Jerry ! »
Kapellmeister déchargeant fluides mélodies,
Mon cahier des charges : « à chaque bouche, son fifre ».
à la tête, au c** et qu'ça glisse et qu'on s'empiffre
En c'te veillée balbutiant : « Prends-moi fort, Jerry ! »
Tout ce que je vous tends, avalez goulument...
...l'appét** vient en mangeant !
Sécrétion puissante qui fait fondre les chaînes,
Les chants d' l'h****... Propagande érogène !
[Lyrics added by Silverat]
Surgirent les chattes d'éther,
De l'Ouest elles s'échappèrent.
Elles vinrent à moi, corps célestes
Joignant mes nocturnes pubères
Au gré des vents stellaires...
« L'ardente et grandiose lubie,
Ralliant mes frères et ces Dames
à ma suintante hystérie,
Devait s'opérer par les flammes !
Tel un faisceau, sommes unis
Pour p***oncer l'ultime blâme...
Mais, de la jeunesse enhardie,
Au loin, se pointe l'oriflamme ! »
Alors que les fourmis séparent
Les vieillards rôtis en lambeaux,
Les feux désormais se déclarent
Dans la pupille des jeunots.
Curieux écho de la victoire
Sur ce croustillant tapis chaud !
« Ma milicieuse Malice,
Cette cyclique violence,
Musicalement manigance
Une campagne épuratrice :
L'ouverture au rythme propice
à l'accouplement en cadence. »
Aux sévères tambours s'entrechoquent les corps,
S'éclaboussant d'amour dans l'effort.
Moites peaux de velours, luxuriantes flores
Détrempées que je bourre aux aurores.
Ce voile licencieux tombant sur le credo ;
Puritains de Dieu, craignez notre commando !
Face aux bigotes dégainons les braquemarts,
D'un éclat de rire et de fluides Communards !
Que l'aigle ivrogne surplombe l'Hôtel des vils
Prophètes de la Commune des Chants d'Nihil !
L'empire de la vertu périclite au risque
D'émoustiller un peu trop - mais jamais a**ez -
La foule, raide au matin, toute retournée,
Et beuglant à l'unisson : « Prends-moi fort, Jerry ! »
Kapellmeister déchargeant fluides mélodies,
Mon cahier des charges : « à chaque bouche, son fifre ».
à la tête, au c** et qu'ça glisse et qu'on s'empiffre
En c'te veillée balbutiant : « Prends-moi fort, Jerry ! »
Tout ce que je vous tends, avalez goulument...
...l'appét** vient en mangeant !
Sécrétion puissante qui fait fondre les chaînes,
Les chants d' l'h****... Propagande érogène !
[Lyrics added by Silverat]