J'ai la tête en carafe
Mais pas les yeux d'un hiboux
Alors j'allume la lumière
Pour pouvoir marcher tout debout
Rapport à tous ces coins de tables
Et à leur petit sourire sournois
A leurs croche-pieds implacables
Qui me rappellent souvent à toi
Oh ! le sol que je ne touche pas si souvent (bis)
C'est pas faute d'avoir essayer
Mais toutes ces conventions m'emmerdent
Sois poli, essuie ton nez
Et t'es gentil marches pas dans l'herbe
Si t'es en r***** pour bosser
T'auras pas le droit à ton café
Y en a pleins le c** de voir s'agiter
Des carottes pour faire avancer
Oh ! Ras le bol , je veux qu'on m'laisse
avancer doucement (bis) J'partage un très joli deux pièces
Avec des milliers de c**s de bouteilles
Des cendriers qui serrent les fesses
Et qui chantent les chansons de la veille
J'ai la photo sous l'oreiller
D'une femme qu'a partagé ma vie
Qu'est partie avec la télé
Le frigo et les quatre pieds du lit.
Oh ! Le sol sur lequel je chute violemment (bis)
J'ai la tête en carafe
Mais pas les yeux d'un hiboux
Alors j'allume la lumière
Pour pouvoir marcher tout debout
Rapport à tous ces coins de tables
Et à leurs petits sourires sournois
A leurs croche-pieds implacables
Qui me rappellent souvent à toi
Oh ! Le sol que je ne touche pas si souvent (bis)
Mais pas les yeux d'un hiboux
Alors j'allume la lumière
Pour pouvoir marcher tout debout
Rapport à tous ces coins de tables
Et à leur petit sourire sournois
A leurs croche-pieds implacables
Qui me rappellent souvent à toi
Oh ! le sol que je ne touche pas si souvent (bis)
C'est pas faute d'avoir essayer
Mais toutes ces conventions m'emmerdent
Sois poli, essuie ton nez
Et t'es gentil marches pas dans l'herbe
Si t'es en r***** pour bosser
T'auras pas le droit à ton café
Y en a pleins le c** de voir s'agiter
Des carottes pour faire avancer
Oh ! Ras le bol , je veux qu'on m'laisse
avancer doucement (bis) J'partage un très joli deux pièces
Avec des milliers de c**s de bouteilles
Des cendriers qui serrent les fesses
Et qui chantent les chansons de la veille
J'ai la photo sous l'oreiller
D'une femme qu'a partagé ma vie
Qu'est partie avec la télé
Le frigo et les quatre pieds du lit.
Oh ! Le sol sur lequel je chute violemment (bis)
J'ai la tête en carafe
Mais pas les yeux d'un hiboux
Alors j'allume la lumière
Pour pouvoir marcher tout debout
Rapport à tous ces coins de tables
Et à leurs petits sourires sournois
A leurs croche-pieds implacables
Qui me rappellent souvent à toi
Oh ! Le sol que je ne touche pas si souvent (bis)