La Rumeur, groupe qui milite depuis le début,
aux antipodes de ces groupes de merde qui ont déçu
et qui gèrent leur fin de carrière avec des godes dans le c**.
Poète vandale, ok, Ekoué ne se travestit pas, orphelin
dans ce milieu de p*****, l'expatrié du coin te parle, cousin.
Dans la palabre des infâmes pour que les esprits s'enflamment,
né prédateur, d'accord, presque toujours isolé mais jamais muselé.
Les c******* sur la table des négociations, avec les autres trouducs
que les playlists des radios ont transformé en eunuque
Ce fut écrit noir sur blanc, pédale,
reste chez toi au chaud : ne sortez plus sans votre gilet pare-balle !
Plus rancunier qu'une rumeur tu meurs.
Combien de mecs se défroquent pour passer sur Skyrock ?
C'est une bien triste époque
qui commence pour vous ;
désormais la parole sera à des groupes comme nous.
L'hérésie gangraine avec poésie.
A chacun son fusil, et même si le mal est fait j'écris
qu'en mollardant sur l'imposture, keumé.
Quand la censure frappe de plein fouet,
mon rap se braque, mes prescripteurs me raquent.
Je mets sur ma liste - encore incomplète -
le sort de la tête de journalistes de la presse spé, bercés d'utopies,
condamnés à morfler ou revoir leur copie.
Nous sommes les premiers sur le rap, fils de pute !
Cette poignée de non-alignés qui commencera par buter
rappeurs, DJs et producteurs zélés
regardant le ciel s'a**ombrir au-dessus de leur tête de traître.
Ok, ok, observe le B.A.V.A.R.,
un de ces d***és de la terre aux paroles incendiaires,
hier, sous le joug de la traite négrière.
Faut-il que je traite leur mère pour que ces putes
s'affranchissent de la porte d'Asnières ?
Aère les chiottes si tu viens de c***r un gros cake,
et laisse ton single de merde que je me torche le c** avec,
et fais courir le bruit que dans l'industrie
du disque on fera couiner les truies.
J'suis le musée des horreurs à moi tout seul, fillette.
Demande à nos censeurs pourquoi ils flippent dans leur tête.
Et toi baisse le regard et ton falzar devant ton agent,
si tu te demandes où est passé l'argent
pour lequel tu te prostitues.C'est dur ? A qui le dis-tu !
Décroche et prends cette dose comme substitut.
Et puis passe-moi l'étoffe, la bouteille et l'essence
que je te montre comment ces enculés se balancent dans tous les sens.
A l'aide de textes très crus dans son placard, bâtard,
c'est La Rumeur en extrait qui t'insulte exprès.
La haine se lit dans les traits et t'annonce un sale futur,
et pour les traîtres des points de suture.
Nous sommes les premiers sur le rap, fils de pute !
Cette poignée de non-alignés qui commencera par buter
rappeurs, dj's et producteurs zélés
regardant le ciel s'a**ombrir au-dessus de leur tête de traître.
aux antipodes de ces groupes de merde qui ont déçu
et qui gèrent leur fin de carrière avec des godes dans le c**.
Poète vandale, ok, Ekoué ne se travestit pas, orphelin
dans ce milieu de p*****, l'expatrié du coin te parle, cousin.
Dans la palabre des infâmes pour que les esprits s'enflamment,
né prédateur, d'accord, presque toujours isolé mais jamais muselé.
Les c******* sur la table des négociations, avec les autres trouducs
que les playlists des radios ont transformé en eunuque
Ce fut écrit noir sur blanc, pédale,
reste chez toi au chaud : ne sortez plus sans votre gilet pare-balle !
Plus rancunier qu'une rumeur tu meurs.
Combien de mecs se défroquent pour passer sur Skyrock ?
C'est une bien triste époque
qui commence pour vous ;
désormais la parole sera à des groupes comme nous.
L'hérésie gangraine avec poésie.
A chacun son fusil, et même si le mal est fait j'écris
qu'en mollardant sur l'imposture, keumé.
Quand la censure frappe de plein fouet,
mon rap se braque, mes prescripteurs me raquent.
Je mets sur ma liste - encore incomplète -
le sort de la tête de journalistes de la presse spé, bercés d'utopies,
condamnés à morfler ou revoir leur copie.
Nous sommes les premiers sur le rap, fils de pute !
Cette poignée de non-alignés qui commencera par buter
rappeurs, DJs et producteurs zélés
regardant le ciel s'a**ombrir au-dessus de leur tête de traître.
Ok, ok, observe le B.A.V.A.R.,
un de ces d***és de la terre aux paroles incendiaires,
hier, sous le joug de la traite négrière.
Faut-il que je traite leur mère pour que ces putes
s'affranchissent de la porte d'Asnières ?
Aère les chiottes si tu viens de c***r un gros cake,
et laisse ton single de merde que je me torche le c** avec,
et fais courir le bruit que dans l'industrie
du disque on fera couiner les truies.
J'suis le musée des horreurs à moi tout seul, fillette.
Demande à nos censeurs pourquoi ils flippent dans leur tête.
Et toi baisse le regard et ton falzar devant ton agent,
si tu te demandes où est passé l'argent
pour lequel tu te prostitues.C'est dur ? A qui le dis-tu !
Décroche et prends cette dose comme substitut.
Et puis passe-moi l'étoffe, la bouteille et l'essence
que je te montre comment ces enculés se balancent dans tous les sens.
A l'aide de textes très crus dans son placard, bâtard,
c'est La Rumeur en extrait qui t'insulte exprès.
La haine se lit dans les traits et t'annonce un sale futur,
et pour les traîtres des points de suture.
Nous sommes les premiers sur le rap, fils de pute !
Cette poignée de non-alignés qui commencera par buter
rappeurs, dj's et producteurs zélés
regardant le ciel s'a**ombrir au-dessus de leur tête de traître.