En effeuillant la fleur des champs
La blanche et tendre marguerite
Je rêve d'un pompier pas méchant
Ou d'un soldat dans sa guérite
Nous irions dans un beau jardin
Comme un prince avec sa princesse
Et de minuit jusqu'au matin
Nous serions tout miel et caresses
{Refrain:}
Rêveuse et fragile
La brutalité
Me tourne la bile
Et me fait pleurer
J'aime les mots tendres
Et les songes bleus
Mon cœur peut se fendre
Pour un amoureux
Je suis pareille au svelte iris
Et je suis pareille au grand lys
Et pareille à la fraise mûre
Je suis une faible nature
L'amour tourne mon estomac
Mais quand je pense aux aventures
Ma chair frémit, j'en suis gaga
Faut prendre ma température
{au Refrain}
Hélas ! Je viens d'avoir cent ans
Et je veux quelqu'un de vivant
Car le rêve est bien triste et fade
Je voudrais le marquis de Sade
Ou bien un gros garçon boucher
Qui m'étreigne, me fasse loucher
Ou qu'il me mette en marmelade
Mais que je ne sois plus en rade
{au Refrain}
La brutalité
Ah, la brutalité !
La blanche et tendre marguerite
Je rêve d'un pompier pas méchant
Ou d'un soldat dans sa guérite
Nous irions dans un beau jardin
Comme un prince avec sa princesse
Et de minuit jusqu'au matin
Nous serions tout miel et caresses
{Refrain:}
Rêveuse et fragile
La brutalité
Me tourne la bile
Et me fait pleurer
J'aime les mots tendres
Et les songes bleus
Mon cœur peut se fendre
Pour un amoureux
Je suis pareille au svelte iris
Et je suis pareille au grand lys
Et pareille à la fraise mûre
Je suis une faible nature
L'amour tourne mon estomac
Mais quand je pense aux aventures
Ma chair frémit, j'en suis gaga
Faut prendre ma température
{au Refrain}
Hélas ! Je viens d'avoir cent ans
Et je veux quelqu'un de vivant
Car le rêve est bien triste et fade
Je voudrais le marquis de Sade
Ou bien un gros garçon boucher
Qui m'étreigne, me fasse loucher
Ou qu'il me mette en marmelade
Mais que je ne sois plus en rade
{au Refrain}
La brutalité
Ah, la brutalité !