Avec son marteau piqueur
Il creuse le sillon de la route de demain.
Il y met du coeur,
Le soleil et le gel sont écrits sur ses mains,
Le Portugais dans son ciré tout rouge
Qui ressemble à un épouvantail...
As-tu vu l'étrange laboureur
Des prairies de béton et des champs de rocailles?
Il faut en faire des voyages,
Il faut en faire du chemin.
Ce n'est plus dans son village
Qu'on peut gagner son pain...
Loin de son toit, de sa ville,
À cinq cent milles vers le Nord,
Le soir dans un bidonville
Le Portugais s'endort.
Il est arrivé a la gare d'Austerlitz voilà deux ans déjà...
Il n'a qu'une idée, gagner beaucoup d'argent et retourner là-bas.
Le Portugais dans son ciré tout rouge
Qui ressemble à un épouvantail -
Il ne t'entend pas,
Il est sur le chemin qui mène au Portugal.
Il faut en faire des voyages,
Il faut en faire du chemin.
Ce n'est plus dans son village
Qu'on peut gagner son pain...
Loin de son toit, de sa ville,
À cinq cent milles vers le Nord,
Le soir dans un bidonville
Le Portugais s'endort.
Il creuse le sillon de la route de demain.
Il y met du coeur,
Le soleil et le gel sont écrits sur ses mains,
Le Portugais dans son ciré tout rouge
Qui ressemble à un épouvantail...
As-tu vu l'étrange laboureur
Des prairies de béton et des champs de rocailles?
Il faut en faire des voyages,
Il faut en faire du chemin.
Ce n'est plus dans son village
Qu'on peut gagner son pain...
Loin de son toit, de sa ville,
À cinq cent milles vers le Nord,
Le soir dans un bidonville
Le Portugais s'endort.
Il est arrivé a la gare d'Austerlitz voilà deux ans déjà...
Il n'a qu'une idée, gagner beaucoup d'argent et retourner là-bas.
Le Portugais dans son ciré tout rouge
Qui ressemble à un épouvantail -
Il ne t'entend pas,
Il est sur le chemin qui mène au Portugal.
Il faut en faire des voyages,
Il faut en faire du chemin.
Ce n'est plus dans son village
Qu'on peut gagner son pain...
Loin de son toit, de sa ville,
À cinq cent milles vers le Nord,
Le soir dans un bidonville
Le Portugais s'endort.