Dans l´été mil neuf cent quatre-vingt-onze
Dedans le port de Dahouët
Elle est revenue frapper ses amarres
Le long des quais des terre-neuvas
{Refrain, x2}
Ho, La Pauline
C´est une chaloupe
Sa carène fine
Est parfumée d´étoupe
Ho, la Pauline
C´est une chaloupe
Toute vêtue de bois
Comme au temps des calfats
Le premier homme à lui tenir la barre
Il s´appelait Hippolyte Guinard
Propriétaire d´une bien belle coque noire
Gréée, dit-on, en lougre flambart
{au Refrain, x2}
Après neuf ans de chalutage à la côte
Obligations des pilotes de port
Le modernisme, voilà la faute,
L´a obligé à changer de corps-mort
{au Refrain, x2}
Après la guerre, celle qu´on appelle la Grande,
Elle est vendue à l´Armor Pleubian
A un matelot qui s´appelait Lamandé
Il l´a gréée pour la campagne goémonière
{au Refrain, x2}
A vous autres les amis de Pauline
Je voudrais que les vents vous soient portants
Que le bateau qui est ici navigue
Merci à vous Monsieur Clochet
{au Refrain, x4}
Dedans le port de Dahouët
Elle est revenue frapper ses amarres
Le long des quais des terre-neuvas
{Refrain, x2}
Ho, La Pauline
C´est une chaloupe
Sa carène fine
Est parfumée d´étoupe
Ho, la Pauline
C´est une chaloupe
Toute vêtue de bois
Comme au temps des calfats
Le premier homme à lui tenir la barre
Il s´appelait Hippolyte Guinard
Propriétaire d´une bien belle coque noire
Gréée, dit-on, en lougre flambart
{au Refrain, x2}
Après neuf ans de chalutage à la côte
Obligations des pilotes de port
Le modernisme, voilà la faute,
L´a obligé à changer de corps-mort
{au Refrain, x2}
Après la guerre, celle qu´on appelle la Grande,
Elle est vendue à l´Armor Pleubian
A un matelot qui s´appelait Lamandé
Il l´a gréée pour la campagne goémonière
{au Refrain, x2}
A vous autres les amis de Pauline
Je voudrais que les vents vous soient portants
Que le bateau qui est ici navigue
Merci à vous Monsieur Clochet
{au Refrain, x4}