Nous sommes l'aube d'une nuit a**assine.
Nous viendrons, pleins de nébuleuses et de soleils,
Jeter nos rêves noirs des perles d'ombres,
Dans un désert de flammes qui dansent toujours.
Nous revenons de continents embrumés,
Nos vaisseaux, bercés d'éc**es nouvelles,
Ramènent tous leurs trésors secrets,
Leurs peines, mélancoliques aciers,
Mercures délétères.
Nous avons retourné les ruines, nos mémoires,
Portés de colère et d'autres ailes sauvages,
Au travers de pays voilés de cendres,
Soufflées entre les fissures de nos épaves.
Nos voyages infinis parsemées
De flambeaux d'espoirs pauvres.
Nous revenons des guerres, des blessures,
Avec les richesses que l'univers massacre,
Des lames tordues et des chants brisés,
Leurs cercueils remplis d'étoffes,
Aux couleurs crevées du sang
Et du cœur.
Ce cœur nous guide au devant des nuées d'étoiles,
Vers d'anciennes forges oubliées.
Dans un désert de flammes qui dansent toujours,
Nous venons extraire l'âme avilie
Des ordures alchimiques.
Vers d'anciennes forges oubliées,
et d'autres distances encore...
Nous sommes l'aube, gorgée de larmes d'or.
Des serpents de feu et des lumières explosées,
Des arbres d'argent, enracinés au cœur,
Dans les forges, leurs enclumes, et au ciel,
Des oiseaux incandescents.
Nous sommes l'aube d'une nuit a**assine,
Née au-delà des tristesses,
Porteuse de sécheresses et de temps.
D'éclats et de renaissances.
Nous venons d'avant
Les mondes effondrées
À jamais vivants
Des rythmes d'avenir.
Le fruit de toutes les ténèbres,
Dans nos yeux, a inventé
Un jardin de diamants.
" Ô Petite Humanité,
Qui crève dans l'aube des jours,
Tombées, comme une flamme silencieuse,
As-tu dévoré tes rêves ? "
Nous viendrons, pleins de nébuleuses et de soleils,
Jeter nos rêves noirs des perles d'ombres,
Dans un désert de flammes qui dansent toujours.
Nous revenons de continents embrumés,
Nos vaisseaux, bercés d'éc**es nouvelles,
Ramènent tous leurs trésors secrets,
Leurs peines, mélancoliques aciers,
Mercures délétères.
Nous avons retourné les ruines, nos mémoires,
Portés de colère et d'autres ailes sauvages,
Au travers de pays voilés de cendres,
Soufflées entre les fissures de nos épaves.
Nos voyages infinis parsemées
De flambeaux d'espoirs pauvres.
Nous revenons des guerres, des blessures,
Avec les richesses que l'univers massacre,
Des lames tordues et des chants brisés,
Leurs cercueils remplis d'étoffes,
Aux couleurs crevées du sang
Et du cœur.
Ce cœur nous guide au devant des nuées d'étoiles,
Vers d'anciennes forges oubliées.
Dans un désert de flammes qui dansent toujours,
Nous venons extraire l'âme avilie
Des ordures alchimiques.
Vers d'anciennes forges oubliées,
et d'autres distances encore...
Nous sommes l'aube, gorgée de larmes d'or.
Des serpents de feu et des lumières explosées,
Des arbres d'argent, enracinés au cœur,
Dans les forges, leurs enclumes, et au ciel,
Des oiseaux incandescents.
Nous sommes l'aube d'une nuit a**assine,
Née au-delà des tristesses,
Porteuse de sécheresses et de temps.
D'éclats et de renaissances.
Nous venons d'avant
Les mondes effondrées
À jamais vivants
Des rythmes d'avenir.
Le fruit de toutes les ténèbres,
Dans nos yeux, a inventé
Un jardin de diamants.
" Ô Petite Humanité,
Qui crève dans l'aube des jours,
Tombées, comme une flamme silencieuse,
As-tu dévoré tes rêves ? "