Si tu rencontres ton étoile
Accroche-toi, accroche-toi
Accroche-toi à ton étoile
Et serre-la
Tout contre toi, tout contre toi
Elle renferme une promesse
De liberté, de liberté
Elle s'appelle ta jeunesse
Et ta fierté, et ta fierté, et ta fierté
Car cette étoile qui scintille
Sur l'épaule du pôle Nord
Fais-moi confiance, elle est gentille
Et tu peux lui confier ton sort
Si tu rencontres ton étoile
Accroche-toi, accroche-toi
Accroche-toi à ton étoile
Elle est à toi, elle est à toi, elle est à toi
Oh, dis-moi, monsieur le savant :
Où je puis trouver cette étoile ?
Dans le ciel, il y en a tant et tant
Dans les puits, elles sont trop pâles, pâles
j'ai failli en rencontrer deux
Dans les yeux si bleus de ma mie
Elles se sont enfuies toutes deux
Emportées par un soir de pluie, pluie
Le savant lui a répondu :
Sois patient, attends, petit homme
Tu vois, le domaine de l'inconnu
N'appartient pas aux astronomes
Mais à mon avis
Car cette étoile maraudeuse
Suspendue au gré des saisons
Sera pour toi joie merveilleuse
Avec son plein sac d'illusions
Et cette étoile que tu nommes
De noms bénis, de noms bénis
C'est le plus grand rêve des hommes
Vers l'infini, vers l'infini, vers l'infini
Si tu veux trouver ton étoile
Cours vers la vie, cours vers la vie
Elle t'attend, ta bonne étoile
Bien au-delà des cathédrales
Longtemps, longtemps
Après Paris
Accroche-toi, accroche-toi
Accroche-toi à ton étoile
Et serre-la
Tout contre toi, tout contre toi
Elle renferme une promesse
De liberté, de liberté
Elle s'appelle ta jeunesse
Et ta fierté, et ta fierté, et ta fierté
Car cette étoile qui scintille
Sur l'épaule du pôle Nord
Fais-moi confiance, elle est gentille
Et tu peux lui confier ton sort
Si tu rencontres ton étoile
Accroche-toi, accroche-toi
Accroche-toi à ton étoile
Elle est à toi, elle est à toi, elle est à toi
Oh, dis-moi, monsieur le savant :
Où je puis trouver cette étoile ?
Dans le ciel, il y en a tant et tant
Dans les puits, elles sont trop pâles, pâles
j'ai failli en rencontrer deux
Dans les yeux si bleus de ma mie
Elles se sont enfuies toutes deux
Emportées par un soir de pluie, pluie
Le savant lui a répondu :
Sois patient, attends, petit homme
Tu vois, le domaine de l'inconnu
N'appartient pas aux astronomes
Mais à mon avis
Car cette étoile maraudeuse
Suspendue au gré des saisons
Sera pour toi joie merveilleuse
Avec son plein sac d'illusions
Et cette étoile que tu nommes
De noms bénis, de noms bénis
C'est le plus grand rêve des hommes
Vers l'infini, vers l'infini, vers l'infini
Si tu veux trouver ton étoile
Cours vers la vie, cours vers la vie
Elle t'attend, ta bonne étoile
Bien au-delà des cathédrales
Longtemps, longtemps
Après Paris