Vanille
Vanille,tu es aux filles
Ce que le fil et à l'aiguille
Et je passe mon temps
A te passer devant
Pour te frôler,vanille
Du bout des pied de la cheville
Et par enchantement
S'il fait un peu de vent
Je verrai ta jupe qui oscille
Le tissu que les lignes quadrillent
Se soulever doucement
Comme par accident
Faisant la joie mes pupilles
Qui à la vue de tes jambes scintillent
Serait-ce aller trop loin
Que de tenir ta main
Devant ces imbéciles
JE SAIS QUE TU IGNORES
SI J'AI FROID QUAND JE DORS
SI AU PETIT MATIN
J'AI SUR LE BOUT DES SEINS
LA mémoire DE TON CORPS
QUI LUI déjà DEHORS
NE SAIS PLUS VRAIMENT
DE QUEL APPARTEMENT
IL SORT...
Vanille,tu sais,brindille
Ma jalousie je la mets sous grille
Quand un inlassablement
D'éternels prétendants
Rampent à faire gonfler tes chevilles
Et je me tais si je vois qu'une fille
Porte le jour suivant
Certains de tes vêtements
Et si tout cela me torpille
Au moindre mot tu fermes ta coquille
Et je préfère de loin
Avaler mon chagrin
A mes risques et périls
JE SAIS QUE TU IGNORES
SI J'AI FROID QUAND JE DORS
SI AU PETIT MATIN
J'AI SUR LE BOUT DES SEINS
LA mémoire DE TON CORPS
QUI LUI déjà DEHORS
NE SAIS PLUS VRAIMENT
DE QUEL APPARTEMENT
IL SORT...
Vanille,
Est ce qu'au moins quand tu te rhabille
Tu regardes derrière toi
Pour voir si je dors ou pas
Vanille,tu es aux filles
Ce que le fil et à l'aiguille
Et je passe mon temps
A te passer devant
Pour te frôler,vanille
Du bout des pied de la cheville
Et par enchantement
S'il fait un peu de vent
Je verrai ta jupe qui oscille
Le tissu que les lignes quadrillent
Se soulever doucement
Comme par accident
Faisant la joie mes pupilles
Qui à la vue de tes jambes scintillent
Serait-ce aller trop loin
Que de tenir ta main
Devant ces imbéciles
JE SAIS QUE TU IGNORES
SI J'AI FROID QUAND JE DORS
SI AU PETIT MATIN
J'AI SUR LE BOUT DES SEINS
LA mémoire DE TON CORPS
QUI LUI déjà DEHORS
NE SAIS PLUS VRAIMENT
DE QUEL APPARTEMENT
IL SORT...
Vanille,tu sais,brindille
Ma jalousie je la mets sous grille
Quand un inlassablement
D'éternels prétendants
Rampent à faire gonfler tes chevilles
Et je me tais si je vois qu'une fille
Porte le jour suivant
Certains de tes vêtements
Et si tout cela me torpille
Au moindre mot tu fermes ta coquille
Et je préfère de loin
Avaler mon chagrin
A mes risques et périls
JE SAIS QUE TU IGNORES
SI J'AI FROID QUAND JE DORS
SI AU PETIT MATIN
J'AI SUR LE BOUT DES SEINS
LA mémoire DE TON CORPS
QUI LUI déjà DEHORS
NE SAIS PLUS VRAIMENT
DE QUEL APPARTEMENT
IL SORT...
Vanille,
Est ce qu'au moins quand tu te rhabille
Tu regardes derrière toi
Pour voir si je dors ou pas