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Numero : 02
t**re : Les vents
Album : Les airs empruntés
Paroles : Walther Gallay
Musique : Café Bertrand
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Comme je la reconnais celle qui se tient là devant moi
Et laissez-moi vous dire...merci !
O combien Madame
Il suffisait simplement de regarder au fond de mes yeux
Tout au fond pour voir si il y avait encore du feu
La flamme a changée certes...
Mais plus belle et plus bleue
Elle est même parfois un peu verte
Si on regarde mieux
Si on regarde mieux, on s'aperçoit
Que j'en ai fais des pompes
Sans me muscler les veines
Et toutes les histoires que je raconte
L'éloignent encore elle
Comme je la reconnais celle qui se tient là devant moi
Et laissez-moi vous dire...bonne chance !
O combien Madame !
Il suffisait simplement de me croire un peu
Moi je n'ai jamais prétendu tutoyer les dieux
Rien que des nuages !
Je me suis contenté de ça
J'ai joué à l'enfant pas sage
Vous en souvenez-vous Madame
Vous en souvenez-vous Madame
Vous en souvenez-vous Madame
J'en ai fais des pompes
Sans me muscler les veines
Et toutes les histoires que je raconte
L'éloignent encore elle
Mais devant, attention !
Face aux vents qui vengent et s'arrangent
Pour garder à température ma haine
Je n'ai beau être qu'un caméléon
J'ai l'âme prête et celle d'un dragon
Sans hallu, ni nation
Comme je l'ai reconnu celle qui s'est tenue devant moi
Et laissez-moi vous dire...
O combien Madame !
Numero : 02
t**re : Les vents
Album : Les airs empruntés
Paroles : Walther Gallay
Musique : Café Bertrand
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Comme je la reconnais celle qui se tient là devant moi
Et laissez-moi vous dire...merci !
O combien Madame
Il suffisait simplement de regarder au fond de mes yeux
Tout au fond pour voir si il y avait encore du feu
La flamme a changée certes...
Mais plus belle et plus bleue
Elle est même parfois un peu verte
Si on regarde mieux
Si on regarde mieux, on s'aperçoit
Que j'en ai fais des pompes
Sans me muscler les veines
Et toutes les histoires que je raconte
L'éloignent encore elle
Comme je la reconnais celle qui se tient là devant moi
Et laissez-moi vous dire...bonne chance !
O combien Madame !
Il suffisait simplement de me croire un peu
Moi je n'ai jamais prétendu tutoyer les dieux
Rien que des nuages !
Je me suis contenté de ça
J'ai joué à l'enfant pas sage
Vous en souvenez-vous Madame
Vous en souvenez-vous Madame
Vous en souvenez-vous Madame
J'en ai fais des pompes
Sans me muscler les veines
Et toutes les histoires que je raconte
L'éloignent encore elle
Mais devant, attention !
Face aux vents qui vengent et s'arrangent
Pour garder à température ma haine
Je n'ai beau être qu'un caméléon
J'ai l'âme prête et celle d'un dragon
Sans hallu, ni nation
Comme je l'ai reconnu celle qui s'est tenue devant moi
Et laissez-moi vous dire...
O combien Madame !