Le frisson d'un traitre vent murmure son nom
Ses infâmes litanies que je connais trop
Mais je sais qu'il me trompe
Je discerne la marche indigne de l'homme furtif
L'ombre qui distrait et fait craquer les lames
De mon humble et méprisable chambre sombre
Où j'expire à la lueur de l'antique flamme
De mes derniers râles d'agonie
Dehors, l'hiver morne est à genoux
a**ommé sous les pluies acides
J'ai gravé la pierre face aux larmes des cierges
Fait danser le miroir brisé, harponné les murs
Des griffes de mon soleil noir
Les chevaux d'Hadès traverseront ta route
Enflammeront tes ruines gercées
Mes griffes ravageront tes chairs
Tu t'effondreras, mon étreinte sur ta nuque
Je mutilerai tes carences
Tes chairs arrachées
Et m'offrirai enfin le rêve d'une nuit sans éc**e.
Flesh hostole
Admirant les pièces éparses
Je murmurerai ton nom aux portes des enfers
Quand l'opale brillera, alors tu seras proche
Tu seras si proche...
Ses infâmes litanies que je connais trop
Mais je sais qu'il me trompe
Je discerne la marche indigne de l'homme furtif
L'ombre qui distrait et fait craquer les lames
De mon humble et méprisable chambre sombre
Où j'expire à la lueur de l'antique flamme
De mes derniers râles d'agonie
Dehors, l'hiver morne est à genoux
a**ommé sous les pluies acides
J'ai gravé la pierre face aux larmes des cierges
Fait danser le miroir brisé, harponné les murs
Des griffes de mon soleil noir
Les chevaux d'Hadès traverseront ta route
Enflammeront tes ruines gercées
Mes griffes ravageront tes chairs
Tu t'effondreras, mon étreinte sur ta nuque
Je mutilerai tes carences
Tes chairs arrachées
Et m'offrirai enfin le rêve d'une nuit sans éc**e.
Flesh hostole
Admirant les pièces éparses
Je murmurerai ton nom aux portes des enfers
Quand l'opale brillera, alors tu seras proche
Tu seras si proche...