Au commencement était le Verbe
Vecteur de la lueur d'une étoile morte
La logorrhée divine s'est dispersée en écho
Dans les décombres du royaume de Narcisse
La mort suinte des geôles du paradoxe
Captif du vice dans un donjon instable
Bercé dans les bras émaciés de l'Illusion
J'ai vu la terreur sur son visage dévoilé
Messie phosphorique, sème les graines séditieuses
Ton nom en dissonance confirme l'oracle
Mes tribulations ouvrent une voie de ténèbres
Où seul luit le flambeau du Prévoyant
Le plan divin se révèle dans la chute
L'hypostase maudite reçue en apanage
Ton châtiment est un éclat de grâce en devenir,
Le crâne de l'Homme sur lequel fleurissent de sombres lys
ההיא שרא ההיא (Ehyeh asher ehyeh)
Je suis l'austère contempteur du monde, las du tumulte de l'ostracisme
Mortifié dans mon être, mon âme et mon corps par un cilice de haine
Puisé dans le Fleuve de l'Oubli,
Le précieux élixir oeuvre à ma métamorphose
L'Immuable s'offre en nitescence
À travers le prisme trinitaire de l'hérésiarque
Devant la beauté figée du devenir
J'ai pleuré des larmes d'un sang pourpre
Déversées en torrents dans les artères de Babylone
Elles ont noyé l'orgueil et l'iniquité des asthéniques
Voici, le silence est d'or
Vecteur de la lueur d'une étoile morte
La logorrhée divine s'est dispersée en écho
Dans les décombres du royaume de Narcisse
La mort suinte des geôles du paradoxe
Captif du vice dans un donjon instable
Bercé dans les bras émaciés de l'Illusion
J'ai vu la terreur sur son visage dévoilé
Messie phosphorique, sème les graines séditieuses
Ton nom en dissonance confirme l'oracle
Mes tribulations ouvrent une voie de ténèbres
Où seul luit le flambeau du Prévoyant
Le plan divin se révèle dans la chute
L'hypostase maudite reçue en apanage
Ton châtiment est un éclat de grâce en devenir,
Le crâne de l'Homme sur lequel fleurissent de sombres lys
ההיא שרא ההיא (Ehyeh asher ehyeh)
Je suis l'austère contempteur du monde, las du tumulte de l'ostracisme
Mortifié dans mon être, mon âme et mon corps par un cilice de haine
Puisé dans le Fleuve de l'Oubli,
Le précieux élixir oeuvre à ma métamorphose
L'Immuable s'offre en nitescence
À travers le prisme trinitaire de l'hérésiarque
Devant la beauté figée du devenir
J'ai pleuré des larmes d'un sang pourpre
Déversées en torrents dans les artères de Babylone
Elles ont noyé l'orgueil et l'iniquité des asthéniques
Voici, le silence est d'or