Écoutez bien jeunes filles et garçons, je vais vous chanter une chanson
C'est sur une jolie demoiselle à tous les jours, soirs et matins
Elle avait l'amour à la tête, elle n'en aimait pas d'autres que le sien
Sa mère l'a bien fait mettre au couvent sans lui demander son consentement
A cinq ou six matins à l'aurore, on l'amena au lieu réuni
Prenez bien garde à ma très chère fille qu'aucun garçon ne la voit ici
Le beau galant n'a pas r*****é, en jardinier, il s'est fait habiller
Tout droit au couvent, il s'avance, le coeur tout remplit de desseins
S'en va demander à la mère hôtesse pour travailler dans son jardin
Son jeune amant a bien travaillé cinq ou six jours avec beaucoup d'amour
Pour voir passer Eléonore à tous les soirs et tous les matins
Se promener avec la mère hôtesse dans les allées de son jardin
Le beau galant n'y a pas manqué, à la fenêtre, il s'en est allé
Réveillez-vous, chère Eléonore, car il est temps d'aller aux champs
Sans dire adieu à la mère hôtesse, tous deux sortirent du couvent
Tout jeune garçon qui aime la joie, franchis montagnes et divertis-toi
Puisque les filles sont nos maîtresses, les garçons sont leurs serviteurs
Puisque c'est toi, charmante Eléonore, toi qui as su charmer mon coeur
C'est sur une jolie demoiselle à tous les jours, soirs et matins
Elle avait l'amour à la tête, elle n'en aimait pas d'autres que le sien
Sa mère l'a bien fait mettre au couvent sans lui demander son consentement
A cinq ou six matins à l'aurore, on l'amena au lieu réuni
Prenez bien garde à ma très chère fille qu'aucun garçon ne la voit ici
Le beau galant n'a pas r*****é, en jardinier, il s'est fait habiller
Tout droit au couvent, il s'avance, le coeur tout remplit de desseins
S'en va demander à la mère hôtesse pour travailler dans son jardin
Son jeune amant a bien travaillé cinq ou six jours avec beaucoup d'amour
Pour voir passer Eléonore à tous les soirs et tous les matins
Se promener avec la mère hôtesse dans les allées de son jardin
Le beau galant n'y a pas manqué, à la fenêtre, il s'en est allé
Réveillez-vous, chère Eléonore, car il est temps d'aller aux champs
Sans dire adieu à la mère hôtesse, tous deux sortirent du couvent
Tout jeune garçon qui aime la joie, franchis montagnes et divertis-toi
Puisque les filles sont nos maîtresses, les garçons sont leurs serviteurs
Puisque c'est toi, charmante Eléonore, toi qui as su charmer mon coeur